La crise semble se dénouer, un accord a été trouvé au Qatar pour l’élection probablement dimanche de Michel Sleimane comme président, et la formation d’un gouvernement d’union nationale avec minorité de blocage pour l’opposition.
C’est donc le soulagement au pays du cèdre où on est passé très prêt de la guerre civile. Un répit donc, mais pour combien de temps ? Le dialogue devra se poursuivre, car l’équilibre est fragile, et le fond du problème n’est pas réglé.
Restons positifs tout de même, le centre ville de Beyrouth devrait enfin redevenir fréquentable, et la vie devrait reprendre un rythme normal.
Une note d’optimisme donc dans ce monde de brutes.