"1 2 3 4" en ouverture pourrait nous faire penser à Juliette Lewis qui chante "Hardly Wait", juste à cause de l’émotion et du timbre de voix. Renversant. On a l’impression d’être dans la bouche de Mirel Wagner lorsqu’on entend sa voix, sa prononciation et chaque syllabe au bout de ses lèvres (What Love Looks Like)
Il n’y a aucun titre à mettre de côté, les dix pépites qui composent cet album sont incroyables et on ne s’en lasse pas. Mais parmi cette collection de bijoux, on mettra sur un piédestal "The Devil’s Tongue" qu’on trouve en 7ème position. C’est tout simple, c’est court (2’10), mais c’est diaboliquement efficace. Et on pense aussi à "Goodnight", dernier titre du disque qui nous achève pour de bon à coup d’oreiller. Un sommeil profond et infini sur un petit air malicieux…
Il n’y a rien à dire de plus. C’est un album à écouter, à posséder, à conseiller. Et encore à écouter…