Les journalistes d’obédience libérale peuvent être contents : il ne les contredira plus…. du moins, en public. Les hollandais et les Vallsiens doivent se lécher les babines… Les grands patrons respirent mieux et ne songent plus à quitter la France… Quant au Front de Gauche, mon billet de ce matin n’en a que plus d’actualité. On ne pourra plus dire à présent que c’est la faute à Mélenchon !
Mais soudain l’inquiétude m’assaille : que va faire à présent le gars de l’OPIAM, et que va devenir son blog si utile ?