X-Men, days of he future past :
Synopsis : Les X-Men envoient Wolverine dans le passé pour changer un événement historique majeur, qui pourrait impacter mondialement humains et mutants.
Qui est le meilleur X-men? Le quatrième, sans aucun doute! Cet avant-dernier volet de la saga "mutante" propose des allers-retours entre présent, passé et futur, dans un scénario sans accroc et à la réalisation maîtrisée avec juste la bonne dose d'effets spéctaculaires pour le public pré-estival sans temps mort.
Une odyssée qui n'oublie pas de soigner ses personnages et de proposer une "histoire" aux enjeux plaisants à suivre.
Une fin en apothéose, en espérant que prochain opus, prévu en 2016 continue sur cette lancée et que l'autre saga des Hommes de Xavier, "Origins", poursuive la même route.
Note : 7/10
Godzilla
Synopsis : Godzilla tente de rétablir la paix sur Terre, tandis que les forces de la nature se déchaînent et que l'humanité semble impuissante...
Pour cette enième adaptation du Dino-sauveur-de-l'humanité, on pouvait s'attendre au pire, d'autant que la "bête" avait été confié à l'américain Gareth Edward II, seulement connu à ce jour pour le faussement monstrueux mais vrai road-movie "Monsters".
C'est tout le contraire qui se déroule sous les yeux ébahis des spectateurs : une vraie oeuvre avec de vraies propositions visuelles (les aparitions "enfumées" de Godzilla, les impressionnants monstres marins qui offrent des scènes de batailles épiques, à la beauté frappante, le saut en parachute des militaires zébrant de rouge la cité fumante) et un scénario sur deux générations bien trouvé malgré un léger abus de mélodrame dans la séquence d'ouverture. Plus qu'un divertissement, du vrai bon cinéma!
Note : 8/10
Edge of Tomorrow
Synopsis : Dans un futur proche, des hordes d'extraterrestres ont livré une bataille acharnée contre la Terre et semblent désormais invincibles: aucune armée au monde n'a réussi à les vaincre. Le commandant William Cage, qui n'a jamais combattu de sa vie, est envoyé, sans la moindre explication, dans ce qui ressemble à une mission-suicide. Il meurt en l'espace de quelques minutes et se retrouve projeté dans une boucle temporelle, condamné à revivre le même combat et à mourir de nouveau indéfiniment…
Pour les chanceux qui n'ont pas lu le synopsis avant d'aller voir ce film de guerre SF, le premier quart d'heure est du bonheur pur : un homme rompu à la stratégie grerrière mais sans aucune connaissance du terrain se retrouvant piégé sur un champ de bataille contre des extraterrestres invincibles dans des scènes tantôt effrayantes, euphorisantes ou franchement drôles est une belle trouvaille et régalera les amateurs du genre. Le reste, bien que divertissant, ne sort jamais du cadre de son scénario.
Un bon divertissement sans surprise donc.
Note : 5/10
Transformers : l'âge de l'extrinction
Synopsis : Quatre ans après les événements mouvementés de "Transformers : La Face cachée de la Lune", un groupe de puissants scientifiques cherche à repousser, via des Transformers, les limites de la technologie.
Au même moment, un père de famille texan, Cade Yeager, découvre un vieux camion qui n’est autre qu’Optimus Prime. Cette découverte va lui attirer les foudres d’un certain Savoy, dont le but est d’éliminer les Transformers. Pendant ce temps, le combat entre les Autobots et les Décepticons refait surface…
Tirant une fois de plus sur la corde déjà usée de la licence des camions transformistes, Michael Bay pensait sûrement assurer un bon spectacle. Il a même tenté d'innover en éliminant purement et simplement Shia LeBeouf de ce quatrième opus au profit du bankable Mark Wahlberg mais cela n'a pas suffit. Oui, le feu d'artifice promis est au rendez-vous, oui, les machines sont impressionnantes, oui les Transformers sont attachants, oui cette nouvelle petite famille, avec à la tête Mak Wahlberg, est émouvante mais cela finit par devenir comme une orgie de gâteaux dans une pâtisserie : c'est beau, c'est bon mais ça ne nourrit pas son âme de cinéphile.
Goûtu mais écœurant.
Note : 5.5/10
La planète des singes : l'affontement
Synopsis :
Une nation de plus en plus nombreuse de singes évolués, dirigée par César, est menacée par un groupe d’humains qui a survécu au virus dévastateur qui s'est répandu dix ans plus tôt. Ils parviennent à une trêve fragile, mais de courte durée : les deux camps sont sur le point de se livrer une guerre qui décidera de l’espèce dominante sur Terre.
Si la forme frise la perfection au niveau de la réalisation des primates et des décors, tout simplement époustouflants de réalisme, le fond pêche par ses ressorts usés, ses rebondissements prévisibles et surtout par un manichéisme patent. Si les deux colonies sont emouvantes de par leur quête de survie, il n'existe apparement que des mauvais ou des bons individus de part et d'autre.
Un peu plus de profondeur aurait propulsé ce bijou fantastique au rang de référence du genre.
Note : 6/10