Pourtant le pitch avait tout pour me plaire : Ali Baba réveillant la Belle au bois dormant d’un baiser langoureux et la sauvant des griffes d’une horde de gobelins aidé par un odieux génie sorti d’une bouteille, avouez que ça donne envie. Faire en sorte, en plus, que le prince des voleurs, devenu prince charmant, se trompe dans un premier temps et emballe la Reine des neiges avant sa dulcinée, fallait oser. Ça démarrait donc drôlement bien, juste barré comme j’aime. Mais patatras, sur la distance, ça n’a malheureusement pas tenu la route.
Encore raté, donc. Mais je ne baisse pas les bras, je vais bien finir par trouver chaussure à mon pied.
Fairest T1 : Le grand réveil de Willingham, Gimenez et Sturges. Urban Comics 2014. 155 pages. 15 euros.