Quatrième de couverture :Le monde n’a pas de fin est une ode à Karachi, l’hommage d’un « écrivain dans la ville » qui ne veut pas qu’elle soit réduite à sa violence. Il en rassemble les fragments pour voir au-delà des apparences et faire surgir le monde fascinant d’avant l’islamisation forcenée, d’avant les bombes. Dans le bus qui mène du centre ville à la mer, se croisent ainsi trois générations de personnages qui racontent leur histoire : le père magicien, l’écolier repenti, le Camarade poète Sukhanza, le caïd amoureux, le diseur de mauvaise aventure… « Quand on raconte une histoire à quelqu’un, nous sommes dans le même monde », écrit Bilal Tanweer et, avec lui, on aime cette ville bruyante et vivante en toutes circonstances.
Mon avis : Sans Valentine du Service Presse des Éditions Stock, jamais je n’aurais lu ce roman. Et là aurait été mon erreur. Je ne suis pas très fort en prédictions mais je crois sincèrement que ce roman fera parler de lui pendant cette Rentrée Littéraire.
Un roman d’une grande poésie, des bribes de vie entrelacées et relié par le même événement (un attentat). Tous on un point commun le vieux fou de poète et communiste, à la fois père, grand père ou encore personnage extravagant rencontré dans un bus. Ce bus aussi est un point d’encrage de toutes ces histoires de vie qui se croisent et s’entrecroisent. En lisant ce livre, vous lirez des histoires dans l’histoire écrite avec la magnifique plume de Bilal Tanweer.
Alors vous aussi plongez-vous dans l’expérience littéraire de ce roman « Le monde n’a pas de fin ».