Les Américains sont de retour en Iraq. Il y a eu changement
de premier ministre. Le précédent étant plus ou moins à l’origine des
événements actuels. Puisqu’il a mécontenté sa minorité sunnite, qui s’est
alliée avec « l’Etat Islamique », défaisant ainsi ce qu’avaient fait
les Américains. L’issue de l’affaire ne semble pas claire.
Les troubles en Libye et au Moyen-Orient produisent une
vague d’émigrants qui submergent les pays du Sud de l’Europe, et demandent l’asile
au nord, en France notamment.
En Angleterre un tiers de la population blanche a été
incapable de s’adapter aux changements de l’économie nationale. Concurrencée
par les Polonais et les Africains, elle est inculte et dans la mouise. Quant
aux indépendantistes écossais, ils vont probablement perdre les prochaines
élections, mais ils sont là pour rester. On espérait un miracle économique au
Japon, mais il semble avoir fait flop. (Le Japon sombre dans la déprime ?) Crise ukrainienne, le convoi humanitaire russe serait réellement humanitaire. Relations publiques de M.Poutine. Et la Russie s'adapte aux sanctions.
En Turquie, M.Erdoggan est président. Incertitude sur son
premier ministre et sur sa capacité à avoir une majorité nécessaire pour
changer la constitution. En Espagne, les grands partis politiques sont
affaiblis par la corruption. Il va falloir « former des coalitions pour
gouverner ». La zone euro stagne, rien en vue. L’aide au pays en
développement serait efficace, à défaut d’être efficiente.
Linkedin « disrupte » la chasse de têtes (des
petites plutôt que des grosses). Entre le grand Linkedin et le petit Xing,
Viadeo a choisi une option originale (et très française) : ne pas être
rentable. On applique à la géothermie la même technique qu’au gaz de schiste. (Décidément
on veut brutaliser la nature.)
Et si l’on remplaçait les conseils d’administration,
incompétents, par des consultants, compétents ? Les PME ne trouvent plus d’argent
auprès des banques. Les Assureurs sont prêts à leur prêter mais ne savent pas
comment les évaluer. Et la titrisation de leurs dettes inquiète le régulateur. Les
entreprises rachètent massivement leurs actions. Ce qui permet aux bourses de
ne pas trop baisser. 2007 est la dernière fois que l’on a vu ce phénomène…