Après près de 3 semaines e mode mariage ce qui inclut, derniers préparatifs, cérémonie (civil s'il vous plait !) vin d'honneur, repas, soirée et aussi le voyage de noces ! Nous sommes partis ma femme et moi à Bali. Ma femme à montée, notre voyage de noces comme une crack ! La première semaine à Ubud avec journées intensives de visites des temples et trésors de l'île. La deuxième semaine de plage et de sable fin avec un peu de plongée sur la petite île de Gili. Et pour finir en beauté, deux jours dans un hôtel de luxe de nouveau à Ubud (Oui, deux jours seulement, car c'est compliqué de payer plus ;) ). Et pour répondre à la question que vous vous posez tous, ai-je eu le temps de lire quelques livres, et bien, je vous réponds oui et plus d'un d'ailleurs, une série manga, une Bd, quatre romans. Bien entendu pour chacun d'eux, je donnerai mon avis dans des prochains posts.
L’homme de l’année 1917, Duval, Pécau et Mr Fab
La Grande Guerre brise la vie de deux hommes que tout séparait, pourtant à jamais liés dans l’enfer des tranchées, Boubacar du pays Malinké et Joseph, son maître dans les plantations de Côte d’Ivoire. Le premier y laissera la vie et le second ne trouvera le repos avant d’honorer une dernière fois son camarade. En 1920, l’occasion s’offre à lui, suite à la décision d’inhumer un déshérité de la mort sous l’arc de triomphe...Le monde n’a pas de fin, Bilal Tanweer
Le monde n’a pas de fin est une ode à Karachi, l’hommage d’un « écrivain dans la ville » qui ne veut pas qu’elle soit réduite à sa violence. Il en rassemble les fragments pour voir au-delà des apparences et faire surgir le monde fascinant d’avant l’islamisation forcenée, d’avant les bombes. Dans le bus qui mène du centre ville à la mer, se croisent ainsi trois générations de personnages qui racontent leur histoire : le père magicien, l’écolier repenti, le Camarade poète Sukhanza, le caïd amoureux, le diseur de mauvaise aventure… « Quand on raconte une histoire à quelqu’un, nous sommes dans le même monde », écrit Bilal Tanweer et, avec lui, on aime cette ville bruyante et vivante en toutes circonstances.Les mots qu’on ne dit pas, Véronique Poulain
« “ Salut, bande d’enculés ! ” C’est comme ça que je salue mes parents quand je rentre à la maison. Mes copains me croient jamais quand je leur dis qu’ils sont sourds. Je vais leur prouver que je dis vrai. “ Salut, bande d’enculés ! ” Et ma mère vient m’embrasser tendrement. » Sans tabou, avec un humour corrosif, elle raconte. Son père, sourd-muet. Sa mère, sourde-muette. L’oncle Guy, sourd lui aussi, comme un pot. Le quotidien. Les sorties. Les vacances. Le sexe. D’un écartèlement entre deux mondes, elle fait une richesse. De ce qui aurait pu être un drame, une comédie. D’une famille différente, un livre pas comme les autres.Les fils de la Terre, Jinpachi Môri, Hideaki Hataji
Réformer l'agriculture japonaise : voici la tâche qui pèse sur les jeunes épaules de Shuntaro Natsumé, petit fonctionnaire débarqué dans un lycée agricole en tant qu'enseignant. Logé dans le village de Takazono, il y rencontre Kohei, un agriculteur de son âge, frustré par l'inefficacité des politiques agricoles de l'état. À son contact, le jeune Shuntaro prend peu à peu la vraie mesure de sa mission...