Après deux EPs intitulés EP1 et EP2, voici un très logique premier album qui ne cherche pas plus loin, LP1. Derrière eux, et en particulier ce dernier, se trouve la londonienne FKA twigs.
Avec de tels visuels choisis autant pour ses clips (une petite dizaine déjà à son compteur !) que pour ses disques, il est difficile de ne pas devenir curieux sur ce qui (ne) se cache (pas) derrière le visage de Tahliah Debrett Barnett.
La musique est un mélange savant d’électro, de r’n’b et de pop… en tirant parti du meilleur de chacun des éléments propres à ses genres finalement pas si proches que ça.
Je vais écouter LP1 encore un petit moment, je pense, car s’il vient à peine d’être publié, je ne prendrai aucun risque à donner un avis précipité sur une artiste que je découvre par la même occasion.
Combien de fois un album m’a-t-il immédiatement séduit… avant que je l’oublie complètement ? Et puis, aussi, combien de fois d’autres albums m’ont-ils déçu… avant que je l’oublie les découvre soit en persévérant soit grâce à un certain hasard ?