Le complot des janissaires, de Jason Goodwin
A Istanbul, au milieu du XIXe siècle, sous le règne du sultan Mahmut II.
Un officier de la nouvelle garde du palais est découvert mort noyé dans un chaudron de la confrérie des marchands de soupe de la ville. L'eunuque Hachim est dépêché au palais du sultan, où il se voit confier la responsabilité de retrouver les criminels. Trois autres gardes sont également assassinés...
Dans ce roman, Aimée Dubuc de la Riverie (ou Naksidil Sultan), cousine de Joséphine de Beauharnais est la validée, mère du sultan. C'est de cette même validée (du père de Mahmut II), dont Michel de Grèce raconte le destin extraordinaire dans "la nuit du Sérail".
Quatrième de couverture
Istanbul, 1836. L'eunuque Hachim, réputé pour son flair et sa discrétion dans toute la ville, mène l'enquête pour le compte du sultan Mahmud II. Les corps de quatre officiers de l'armée sont retrouvés dans différents lieux de la capitale ottomane. Une jeune femme du harem royal a également été assassinée. Derrière cette série de meurtres barbares, Hachim découvre l'ombre des terribles janissaires, confrérie sanguinaire dont les exactions terrorisèrent Istanbul avant leur anéantissement, quelques années auparavant. Du Grand Bazar à la Corne d'Or, des étroites ruelles médiévales aux corridors du palais de Topkapi, Hachim arpente la cité impériale, grouillante d'activité, éblouissante et délabrée, sur les traces des mystérieux janissaires...