Toujours dans ma quête de trouver un digne remplaçant à la saga Hunger Games, j’ai profité de mes vacances pour découvrir Partials de Dan Wells. Au format numérique Epub (merci ma liseuse Kobo) afin d’éviter de me trimballer avec un pavé dans mon sac, c’est plus pratique. Sur la couverture, on lit « La dystopie la plus passionnante depuis Hunger Games », alors vrai ou faux ?
Un virus. La guerre contre les Partials ces êtres mi-humains, mi-robots a décimé la population. Seuls quelques milliers retranchés à Long Island ont survécu. Et le virus mystérieux le RM les tue petit à petit. Chaque nouveau-né vit moins d une journée si ce n’est quelques minutes. La race humaine s éteint inexorablement et aucun médecin n a de remède. Un espoir. Dans cette atmosphère désespérée, Kira, jeune interne en médecine, a une nouvelle hypothèse. Pourquoi les Partials sont-ils naturellement immunisés contre le RM ? Et si la solution venait de l ennemi juré lui-même ?
Sur le papier, l’histoire de Partials est plutôt sympa et intrigante. Elle me fait d’ailleurs penser à l’intrigue de la série The Lottery qui vient de débuter sur la chaîne Lifetime. C’est donc sans surprise que je me suis laissée prendre dans l’univers du livre de Wells que j’ai lu en quelques heures seulement. Et si j’ai beaucoup aimé tout le début du livre, j’ai un peu moins accroché avec la fin tout en conservant une critique plutôt positive du livre dans son ensemble.
Pour le moment, je ne sais pas encore si je lirai les deux autres tomes de cette saga (sachant qu’apparemment le troisième Ruins n’est pas disponible en français), mais je suis curieuse de découvrir ce qu’il adviendra de Kira, Samm et Marcus. Partials est en tout cas une lecture qui me semble parfaite pour faire une bonne licence au cinéma, et pour séduire le public adolescents / jeunes adultes qu’elle vise.
Même si le livre reste un peu en dessous d’Hunger Games pour moi, c’est parmi ce que j’ai lu de mieux dans le genre depuis un bon moment. Je recommande donc aux amateurs de (bonnes) dystopies.