Méga-corruption des gouvernants-Imposture climatique-Al Gore démasqué

Publié le 21 mai 2008 par R-Sistons


Pieter Bruegel Le triomphe de la mort  - fr.wikipedia.org
Bonjour
Je suis très en colère. "L'élite", ou auto-proclamée telle,  est souvent une pourriture.  Quand on commence à s'intéresser aux zones d'ombre, quand on décide de voir ce qu'il y a derrière les proclamations officielles, quand on tente de comprendre les ressorts profonds ou les enjeux réels, comme moi, alors on va de découverte en découverte, et parfois d'horreur en horreur. Et celle-ci est révélatrice. L'élite amasse toujours plus d'argent en suçant le sang des peuples, mais cela ne lui suffit pas. Il lui faut des orgies, il lui faut se repaître de sacrifices humains. L'égoïsme, la cupidité, la cruauté, ne connaissent plus de limites. La joie des uns plonge dans la tragédie des autres.
 
Le monde est une poudrière, nous sommes confrontés à des catastrophes majeures.  L'une des principales menaces est d'ordre démographique. La population augmente dans de graves proportions, et les ressources s'amenuisent.  Trop exploitées. Montée des mers, au détriment des terres cultivables. Urbanisation galopante, broyeuse d'espaces, et génératrice de misères supplémentaires. L'armement absorbe de plus en plus les ressources financières, les surfaces cultivables régressent et nos égoïsmes progressent, nous amenant à préférer nourrir les moteurs de nos voitures  plutôt que l'estomac des affamés.
 
Les populations sont privées de terres à cultiver, et donc de nourriture. A cause de l'Occident, substituant l'agriculture intensive, à son profit exclusif, à l'agriculture familiale, nourricière. La pollution dérègle le climat, la nature, mais ce sont les riches qui détruisent la planète par leur cupidité. Et qui, ensuite, refoulent les réfugiés climatiques ou de la misère, les traquent, les criminalisent : Comble du cynisme, puisque ce sont nos égoïsmes, précisément, c'est à dire nos mode de vie et de consommation, qui assèchent la planète, l'asphyxient, paupérisent l'hémisphère sud. Et quand les migrants sont tolérés, c'est pour faire baisser le coût du travail. Le cynisme, encore et toujours.
Ainsi, l'humain disparaît au profit de l'économique. Et l'économique au profit du financier. La pieuvre de la Haute finance, prédatrice, carnassière, immorale. Abjecte, monstrueuse. Le mal absolu, déréglant tout. L'humanité sombre. Au profit d'un petit groupe. Et cette minorité, pour préserver ses acquis et même les accroître tranquillement, en toute impunité, sacrifie  toutes les solidarités nécessaires à la cohésion sociale, au bon fonctionnement de la société, ainsi que toutes les libertés, et elle met en place une entité policière, liberticide, despotique. Ainsi, peu à peu, le bâton remplace la protection - la solidarité. La trique, la grande chaîne humaine. Et la barbarie, la civilisation. N'en déplaise aux Sarkozy et autres bonimenteurs du même acabit... 

Voici ce qu'écrit le prince Philip d'Edimbourg  sur la menace démographique :
« La croissance démographique est potentiellement la plus grave menace pour la survie. Nous nous trouvons devant une grande catastrophe, faute de la freiner. (...) Plus il existe d’hommes, plus ils consomment de matières premières, plus ils produisent de la pollution, et plus ils mènent de guerres. Nous n’avons pas le choix. Si la population ne se limite pas de son plein gré, elle sera régulée involontairement à travers la maladie, la faim et la guerre. »
Le prince Philip d’Edimbourg, Revue People du 21 décembre 1981
http://www.solidariteetprogres.org/sp_HP-Famine.php3
Parmi les autres menaces, je citerai l'appétit insatiable d'une minorité de prédateurs, notamment financiers. Jamais repue, toujours plus avide de ressources, d'argent, de pouvoir, de puissance. L'idole, aujourd'hui, c'est la concurrence, le mérite, l'individu. Au nom de ces sacro-saints principes, on piétine tout. Et d'abord une valeur fondamentale : La solidarité. Qui dit solidarité, dit partage. Et d'abord, partage des ressources, partage de l'eau, notamment.  Par exemple, au Moyen-Orient, Israël monopolise l'eau à son profit,  au détriment des Palestiniens. 



Mais la question qui me préoccupe aujourd'hui est celle qu'évoque Arthenice dans son blog
http://lecarnavaldarthenice.blog.fr . Les nantis ont pour eux le pouvoir, l'argent, les médias et même la Justice ("selon que vous serez puissant ou misérable"). Et aussi, et pour moi c'est la goutte qui fait déborder le vase, le droit de vie et de mort sur les citoyens que nous sommes. C'est l'intolérable que je dénonce régulièrement dans mon blog.
Donc, je n'ignorais pas que les puissants de ce monde ne savaient plus quoi inventer pour occuper leurs nombreux loisirs. Et que leur bon plaisir s'accordait tous les droits, au détriment même des devoirs les plus élémentaires de respect de la vie humaine. Et que leur santé mentale était inversement proportionnelle à leur fortune. Voulez-vous un exemple ? L'illuminé Bush fréquentant les non moins illuminés membres de la secte "Skull and Bones", crânes et squelettes si mes souvenirs d'Anglais sont bons, ce qui préfigure un peu les rites de cette société secrète qualifiée de satanique. Oui, c'est le même homme qui se réclame de Dieu, entreprenant mille croisades de mort pour répandre la vie, la démocratie, la liberté. Dieu reconnaîtra les siens ! D'autant que cet énergumène-là ne prononce jamais le nom de Jésus, ce qui est surprenant de la part d'un individu qui se vante à temps et à contre-temps d'être un chrétien modèle. Du genre antéchrist, peut-être ?
Et donc, comme chacun sait, les psychopathes qui sont aux commandes du Grand désordre mondial prennent plaisir à fréquenter toutes sortes de sociétés secrètes, Ordres de Temples solaires ou pas, Francs-Maçons ou autres, sociétés opaques, parfois sataniques, en tous cas occultes, fermées, et peu recommandables. Les symboles abondent partout, jusque sur le billet vert. Symboles accessibles aux seuls initiés, naturellement.
Et parce qu'ils ont l'argent, les clefs des coffre-forts du monde et l'accès, de gré ou de force, aux ressources planétaires, ces gens se croient tout permis pour satisfaire leurs passions, occuper leurs nombreux loisirs tandis que nous effectuons toutes sortes d'heures supplémentaires afin de les engraisser toujours plus :  Même de participer à des orgies monstrueuses. Où le sang des innocents, parfois très jeunes, se déploie pour satisfaire les esprits les plus raffinés dans la cruauté.
Vous l'avez compris, des vies humaines, mêmes enfantines, sont de temps à autre sacrifiées pour distraire les puissants désoeuvrés à l'affût de sensations toujours nouvelles et plus poussées. Plus sadiques, devrait-on dire. Vous vous souvenez de l'affaire Alègre ? Non ? Je vous la remémore, avec le journaliste Olivier Bonnet dans son blog Plume de presse, http://olivierbonnet.canalblog.com. Morceaux choisis, 12.8.2006 et 1.10. 2007 :

" L’organisation Stop à l’oubli réunit des familles de victimes, qui continuent de réclamer la vérité sur l’affaire, et livre un implacable état des lieux en énumérant "ces disparitions, ces assassinats camouflés en suicide et ces enquêtes tronquées, déformées, bâclées, etc." La lumière sera-t-elle enfin faite un jour ?(..)
"Malgré les rapprochements évidents dès le départ avec Patrice Alègre, Gabriel Loubradou aura tout de même dû attendre 14 ans pour que le dossier de la disparition de sa fille soit enfin rouvert. Lorsqu'il rencontre en 2003 le chef de la nouvelle section Homicide 31, le gendarme Michel Roussel. Il raconte ainsi son entrevue avec l'enquêteur : "Il me faisait répéter ce que j'avais déjà dit aux gendarmes. La première enquête datait de 1989, tout de même ! C'est alors que Roussel, excédé, me montre enfin mon dossier: il était vide. J'étais stupéfait. Toutes les pièces que j'avais fournies ainsi que les témoignages avaient disparu. Je commence à comprendre qu'on s'était moqué de moi pendant tout ce temps-là. Je me rends compte aussi que mon cas n'est pas isolé : d'autres dossiers de "disparitions" ou de crimes maquillés en suicides ont subi le même sort que le mien." On peut ainsi juger que d'épaisses zones d'ombre entourent le rôle d'un des protagonistes essentiels du téléfilm. Et que sa thèse des notables injustement mis en cause, qui réduit l'affaire à un emballement médiatique, ne peut en aucun cas rendre compte d'une terrifiante réalité, ainsi résumée par Stop à l'Oubli: "Depuis trop longtemps, la justice toulousaine est montrée du doigt pour de nombreuses affaires de disparitions, de meurtres classés en suicides, de meurtres non élucidés et pour des dysfonctionnements de toutes sortes qui ont permis au tueur en série Patrice Alègre d’agir en toute impunité durant une douzaine d’années (disparitions de scellés, refus d’entendre certains témoins, menaces, entraves à la recherche de la vérité et autopsies bâclées par deux médecins légistes)."
L'association recense ainsi par exemple 17 "suicides à la toulousaine", ces cas flagrants de meurtres qu'on tente contre l'évidence de camoufler. Saviez-vous par exemple que Hadja Benyoucef a été retrouvée "suicidée" avec une corde au cou, une couche-culotte pliée en huit dans la bouche et un couteau à travers la gorge ? Ou qu'Edith Schleichardt, au cadavre découvert sur le bord d'une route, jupe relevée, une bombe lacrymogène entre les cuisses, avec six dents cassées et un éclat d'émail dans la gorge, dont l'autopsie a conclu à la probable "mort violente avec intervention d'une tierce personne", s'est pourtant "suicidée" elle aussi ? Stop à l'oubli a collecté nombre de faits et témoignages concordants autant qu'explosifs sur les liens à Toulouse entre policiers, milieu, notables et magistrats-enquêteurs. Tout cela est gommé d'un trait de plume signé Etchegoin-Aron, produit sur des fonds publics et diffusé sur France 2 pour servir une bien commode vérité officielle. Ajoutons enfin que la programmation de la deuxième partie du téléfilm sera suivie d'un débat, présenté par Yves Calvi. Qu'en dit Stop à la mystific(a)tion ? "Les acteurs mis en cause dans le film et les familles de victimes ont été écartés du plateau-débat organisé par France 2, après avoir été en contact avec la rédaction durant plusieurs jours. En revanche, l’auteur du scénario du film est maintenu sur le plateau." Le collectif réclame de ce fait un droit de réponse. Ce serait bien le moins qu'on puisse lui accorder." Posté par Olivier Bonnet à 23:59 -  On nous cache tout, on nous dit rien !
Et donc, si cette affaire aux relents nauséabonds a cessé de faire la Une, elle préocccupe toujours la Justice et, au moins, les familles des disparus ainsi que les enfants du magistrat Pierre Roche assassiné à Toulouse, la ville rose. Des ballets roses ?
Sur le blog d'Arthenice, on peut lire ceci :
" http://www.dailymotion.com/visited/search/roche/video/xbz4_affaire-allegrele-scandale-roche

J'ai vu aussi des vidéos terribles, témoignant de "rituels" sexuels sur enfants, jusqu'à ce que la mort s'ensuive parfois, avec décapitations et mains plantées sur des pieux
Ici, en France !!

"Au-delà d'un séisme provincial, ce contexte rappelle une composante taboue de la très grande corruption en France et de la criminalité françafricaine (en Afrique et en France) : l'appartenance à des cercles d'initiés.
Un mode d'initiation", parmi d'autres, est la participation à des "partouzes" filmées, voire à des séances de crimes sexuels (viols, pédophilie, tortures, dégénérant en certains cas extrêmes jusqu'au meurtre des victimes).
Un point commun à tout cela : tenir un certain nombre de gens par le chantage."

Les dessous de la politique sont variés et souvent sordides, les zones d'ombres aussi. Et ceux qui nous gouvernenent, comme ceux qui ont d'importantes charges, ne sont, souvent, pas au-dessus de tout soupçon. Loin de là. Raison de plus pour être vigilants, et, sinon d'exiger une probité absolue de la part de ceux qui ont le pouvoir, du moins d'attendre d'eux de ne pas verser dans l'illuminisme le plus complet, comme Bush et ses croisades au nom de Gog et de Magog, ainsi que je l'ai expliqué dans des articles récents. La transparence et la probités sont particulièrement nécessaires en politique.
Nos existences ne doivent pas dépendre des caprices ou des déraisons des décideurs.
Eva

TAGS : Gog et Magog, Affaire Alègre, D. Baudis, Bush, Sarkozy, Françs-Maçons, Temples Solaires, Skull and Bones, France, initiés, sociétés secrètes, Olivier Bonnet, Arthenice, Pierre roche, Yves Calvi, France 2, Michel Roussel, Billet vert, Haute Finance, Jésus, Dieu, Philip d'Edimbourg...
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Autour de l'émission d'Arte du 20.5.8,
Changements climatiques, une menace pour la paix ? 
Les guerres du climat

Eva : Méfiance ! Les désordres climatiques
ne doivent pas masquer
les désordres provoqués
par les politiques néo-libérales !


Le film-documentaire d’Al Gore, Une vérité qui dérange (2006), sa version écrite, devenue un best-seller, les tournées de conférences, la formation de jeunes capables de faire des présentation « powerpoint », les concerts Live Earth de juillet 2007, toute cette hyperactivité ne reflète aucunement une prise de conscience soudaine, par les peuples du monde, du danger que représente le réchauffement global, mais plutôt l’une des campagnes de propagande les plus massives de l’histoire. Après son début en mai 2006 aux Etats-Unis, Une vérité qui dérange a été distribué dans 35 pays, quelquefois présenté par Gore lui-même, et doit bientôt être introduit dans les écoles et les églises. Ce documentaire, récemment couronné d’un Oscar, n’est que la partie la plus visible d’une série d’opérations psychologiques et politiques coordonnées par des intérêts financiers basés en Grande-Bretagne, ayant pour but de tromper et de contrôler.
Le réchauffement global d’Al Gore :
instrument d’un nouvel impérialisme environnemental
20 mars 2007
L’opération Gore dans son ensemble est organisée par ce que l’on pourrait appeler le « Centre de commande britannique », un réseau reliant étroitement le Premier Ministre britannique Tony Blair, le Chancelier de l’Echiquier Gordon Brown, le milliardaire à la retraite, ex-patron d’eBay, Jeff S. Skoll, aujourd’hui président de Participant Productions et principale source de financement du documentaire d’Al Gore, ainsi que le hedge fund Generation Investment Management, autrement connu comme « Blood and Gore », également basé à Londres.

En avril 2006, lors de son Skoll World Forum, le milliardaire a présenté David Blood et Al Gore, les deux co-fondateurs de Generation Investment Management, comme les « superstars » de l’ »économie du changement climatique ».

Le film de Gore affirme que les températures de la Terre sont en croissance ; que cette situation est due à une production excessive de gaz à effet de serre, et plus particulièrement le dioxyde de carbone ; que cette surproduction est elle-même causée par une activité humaine excessive et une croissance démographique trop rapide. Toutes ces assertions sont fausses comme vous pouvez le lire dans les articles accompagnant ce dossier (voir en haut à droite).

Premièrement, toute lecture locale des températures, lorsque considérée des points de vue de la variabilité de l’activité solaire et des variations à long terme des paramètres de l’orbite terrestre, ne constituent en aucun cas une « surchauffe du climat ». Deuxièmement, l’assertion selon laquelle on aurait observé un accroissement régulier de la concentration en dioxyde de carbone dans l’atmosphère n’est pas fondée. Les données utilisées par Gore sont basées sur des échantillons de glace non fiables, et ne prennent pas en compte les 90 000 mesures directes effectuées avec le plus grand soin par les plus grands noms de la chimie et de la physique au cours des 150 dernières années, et selon lesquelles les concentrations en dioxyde de carbone ont déjà surpassé dans le passé les niveaux actuels.

En ce qui concerne la conclusion du film, selon laquelle il faudrait réduire les niveaux d’activité économique et de population humaine, afin de réduire le dioxyde de carbone dans l’air, elle ne fait que prouver que toute cette campagne ne vise qu’à terroriser les populations et à contrôler l’activité économique des peuples et des nations.

Au moment où le documentaire de Gore sortait en Grande-Bretagne, l’hebdomadaire britannique The Economist (9-15 septembre 2006) publiait un dossier intitulé « The Heat Is On : A Special Report on Climate Change », appelant à établir un marché global sur le carbone, afin de vendre et d’acheter des quotas d’émission, calqué sur le système européen mis en place en 2005. Le quotidien conservateur de Londres, le Daily Telegraph, rapportait plus récemment (le 14 mars 2007) que le véritable message d’Al Gore était le « florissant marché des droits d’émission du carbone ». Le journaliste Tom Stevenson, spécialiste des questions économiques, écrivait que Gore « peut reconnaître la tendance », que « l’échange de droits sur le carbone est l’activité la plus chaude en ville ».

Lors d’une tournée en Australie, puis à New York en octobre 2006, Gore avait même appelé à soumettre les foyers domestiques au même type de système de quotas d’émission que celui mis en place pour les entreprises, un système qu’il a baptisé « Association des hypothèques neutres sur le carbone ». Il n’est pas étonnant que Gore ait été embauché à l’automne comme conseiller auprès du Gouvernement britannique par Gordon Brown. Brown a déclaré que la Grande-Bretagne pourrait être à l’avant-garde des « initiatives » sur le changement climatique en créant de nouveaux marchés.

Comme l’expliquait Nick Stern, auteur d’un rapport sur le réchauffement climatique commandé par le gouvernement travailliste, « l’échange de droits d’émission peut générer de flux significatifs d’investissement dans les pays en voie de développement. Mon ambition est de construire une bourse globale sur le carbone, fondée sur le système des droits d’émission de gaz à effet de serre de l’Union européenne. Totalisant aujourd’hui 9 milliards d’euros, les droits d’émission pourraient croître jusqu’à 50 ou 100 milliards d’euros. Nous allons faire avancer cette idée en organisant une conférence internationale, qui aura lieu à Londres, pour discuter comment lier les différents systèmes existant aujourd’hui dans plusieurs pays et favoriser les échanges de droits d’émission dans les pays en voie de développement, afin de transformer ce système en croissance en une force globale pour le changement. » La Chine, le Brésil, l’Afrique du Sud, l’Inde, le Mexique et d’autres seront les cibles de ce nouvel impérialisme « environnemental ».

Le film de Gore se termine par un appel à l’engagement dans une série de petites actions, que tout citoyen peut mettre en place, comme économiser l’énergie en changeant les ampoules électriques, utiliser moins souvent sa voiture, faire la promotion des biocarburants, planter un arbre, et se battre pour que l’Amérique gèle les niveaux d’émission en dioxyde de carbone. Lorsque le Tennessee Center for Policy Research, basé à Nashville, fit remarquer à Al Gore que la facture d’électricité de sa superbe villa (avec piscine intérieure chauffée) était douze fois plus élevée que celle du foyer américain moyen, celui-ci répondit qu’il en avait compensé le coût en achetant des swaps sur le carbone. Il oublia toutefois de préciser qu’il avait acquis ces étranges instruments financiers auprès de son propre hedge fund, Generation Investment Management.

Lorsqu’on demanda à l’analyste financier Jim Cramer, lors d’une émission diffusée en février sur MSNBC, ce qu’il pensait de la possibilité de voir Gore se présenter à l’élection présidentielle de 2008, sa réponse fut : « Non. Il est gérant de hedge funds maintenant. Personne ne quitte ce jeu. 


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Bataille mondiale sur la fraude du réchauffement planétaire

L’opération lancée par l’ancien vice-président américain Al Gore et ses co-conspirateurs en vue de créer une énième bulle financière basée sur les technologies soi-disant « renouvelables », rencontrent une vive opposition. Les efforts de Lyndon LaRouche et de son Mouvement de jeunes au niveau international rejoignent ceux de la faction en Angleterre qui vient de tourner The Great Global Warming Hoax, ainsi que de scientifiques de plus en plus nombreux.

Al Gore, qui rentre d’une tournée européenne, s’est concerté avec David Milibrand, ministre anglais de l’Environnement, et avec des dirigeants de l’Union européenne, pour faire des émissions de gaz carbonique et de l’adoption d’une taxe sur le CO2 le thème central de réunions internationales, et notamment du G8, dans les prochains mois. Milibrand a fait de nombreuses déclarations, selon lesquelles il faudrait imposer des mesures anti-industrielles drastiques, même au niveau du Conseil de Sécurité de l’ONU. De son côté, la chancelière allemande Angela Merkel a réussi à faire adopter par l’UE une résolution, appelant à une réduction de 20 % des émissions de carbone. La réunion de planification du G8 à Potsdam, le 17 mars, où il a surtout été question du soi-disant réchauffement planétaire, a débouché sur l’adoption d’un protocole sur la « bio-diversité » .

Mais l’opposition se réveille. Le film produit par Gore, An Inconvenient Truth (Une vérité qui dérange), vient d’être démoli par un autre film, intitulé The Great Global Warming Hoax, diffusé sur Channel 4 en Angleterre. Dans ce documentaire, des scientifiques de renom pourfendent les affirmations de Gore lorsqu’il accuse les émissions de CO2 d’être responsables du « réchauffement planétaire ». Selon The Great Global Warming Hoax, les propositions de Gore aboutiraient à priver le tiers monde de tout, et notamment du droit à l’électricité, avec des conséquences génocidaires.

Le film de Channel 4, diffusé le 8 mars, circule abondamment en coulisses à Washington, D.C., ainsi qu’au Danemark et en Suède. Le groupe qui l’a produit connaît manifestement par coeur l’histoire du soutien anglais aux mouvements « verts », tels ceux qui ont abouti aux Jeunesses hitlériennes. LaRouche souhaite que ce film, que 2,5 millions ont déjà regardé, circule partout. Il est disponible en DVD auprès des producteurs, Wag TV, et une version « youtube » est disponible sur internet en cliquant ici

L’imposture du réchauffement global : un film à ne pas manquer

Le 8 mars, la chaîne de télévision britannique Channel 4 a diffusé un documentaire dévastateur pour le « lobby du carbone » , intitulé The Great Global Warming Swindle (L’imposture du réchauffement global). Passées les cinq premières minutes, il démolit l’affirmation si souvent répétée selon laquelle aucun scientifique digne de ce nom ne s’oppose à la thèse du réchauffement global. Suit l’interview d’un nombre impressionnant d’experts en climatologie, océanographie, météorologie, biogéographie et sciences environnementales, travaillant dans des institutions comme l’Institut Paster, la NASA, le Centre de recherches arctiques, MIT et d’autres universités.

Au cours des 70 minutes suivantes, vous assisterez fasciné à un démontage inexorable de toute l’hypothèse sur le CO2. Le dioxyde de carbone - qu’il soit produit par l’homme ou présent dans des sources naturelles beaucoup plus abondantes, en particulier dans les volcans et au sein des océans - ne détermine pas le climat. Vous verrez, au contraire, que c’est la production du soleil, avec ses variations au cours des cycles courts et longs, qui influence le plus le climat sur Terre. Le film comporte aussi l’interview de l’un des chercheurs danois qui viennent d’établir le lien déconcertant entre les rayons cosmiques et le climat.

La fin du film montre clairement que l’environnementalisme tel qu’il est propagé aujourd’hui conduit au génocide. Au cours d’une visite à une clinique africaine, à quelques kilomètres seulement du luxueux immeuble de Nairobi dans lequel s’est tenue la conférence de l’ONU sur le changement climatique, nous voyons les conséquences concrètes du mythe de l’énergie solaire. Dans un bâtiment doté uniquement d’un panneau solaire pour fournir l’électricité, les professionnels de la santé doivent choisir entre s’éclairer ou brancher le minuscule réfrigérateur où sont stockés vaccins et médicaments.

Le documentaire conclut sur ces paroles du Dr Patrick Moore, un co-fondateur de Greenpeace qui répudia totalement le mouvement par la suite : « Le mouvement environnemental est devenu la plus puissante force qui existe pour empêcher l’essor des pays en voie de développement. (...) Je pense qu’il est légitime que je les qualifie d’"anti-humains". »
http://www.solidariteetprogres.org/article2698.html?var_recherche=Al%20Gore




Al Gore promeut le racisme et le génocide


3 avril 2007 - 00:00

 Aux Etats-Unis, le mouvement de Lyndon LaRouche s’est donné pour objectif de discréditer complètement celui qui se présente depuis des années comme le grand « sauveur » de l’environnement, l’ancien vice-Président Al Gore. En effet, sous couvert de « se préoccuper » de l’avenir de la planète, ce dernier promeut racisme et génocide. Les faits sont là pour le prouver :
Al Gore a entamé sa carrière politique au service du FBI en tentant de discréditer un dirigeant respecté de la communauté afro-américaine de Nashville qui dénonçait la politique raciste de la ville. Dans le cadre de l’« opération homme primitif » (sic) du FBI visant les hommes politiques noirs, Gore, alors reporter, avait manigancé en 1974 une affaire de pots-de-vin pour compromettre Morris Haddox, un conseiller municipal, afin de l’éliminer de la scène politique. Une convention politique des Afro-Américains de tout l’Etat du Tennessee a unanimement dénoncé Gore et son supérieur au journal le Tennessean.

  • La carrière politique de Gore a été financée par l’aile bancaire du Parti démocrate proche d’Averell Harriman et de Felix Rohatyn, qui a promu l’eugénisme et la limitation des naissances chez les pauvres. Le Middlebury College du Vermont, par exemple, où Rohatyn est comme chez lui, est un centre de l’eugénisme depuis une centaine d’années, prônant en particulier l’élimination des Indiens et des Canadiens français, ainsi que des malades mentaux.
     
  • Lorsque Al Gore dirigeait la Commission américano-sud-africaine sur le sida, il menaça l’Afrique du Sud de représailles économiques en cas d’achat ou de production de médicaments génériques pour traiter la maladie. Des activistes contre le sida l’ont accusé à juste titre de vouloir tuer l’Afrique noire, tout en dénonçant ses liens avec l’industrie pharmaceutique.
  • Il est bien documenté qu’à partir de 1989, Gore militait pour arrêter l’exportation aux pays du tiers monde de toute technologie de pointe éventuellement « à usage double », y compris des produits chimiques pour fabriquer des engrais, sans parler du nucléaire. En somme, un apartheid technologique. A propos de l’Irak, il déclara : « Le monde n’a pas besoin des contributions de la science spatiale irakienne ni du travail irakien en physique nucléaire. »
     
  • L’agenda environnemental de Gore, comme celui du prince Charles, est une attaque flagrante contre les populations non blanches du tiers monde, à qui on demande de renoncer au développement et à la science.


    http://www.solidariteetprogres.org/article2719.html?var_recherche=Al%20Gore


Attention ! Je n'ai pas eu le temps de me relire et de mettre des liens, over-blog se met en maintenance. Avec mes excuses le cas échéant. Eva