Photo Jean-Jacques RouxJean-Jacques Roux, Rezéen, a fait une étrange découverte, hier soir, sur la plage de Saint-Jean-de-Monts (Vendée) où il possède une résidence secondaire. « Il y avait des vagues de boucaux morts, de crevettes, de crabes, de pignons... Tous morts. Avec une odeur, je ne vous dis pas ». Il pourrait s'agir d'un phénomène d'étouffement lié à une certaine espèce d'algues, constaté également en Loire-Atlantiquedepuis quelques semaines, aux dires de l'Agence régionale de santéDéjà la veille,raconte Jean-Jacques, « ça sentait le poisson mort à plusieurs kilomètres à la ronde. A marée basse jeudi midi,sur la plage de Saint-Jean, on s’est retrouvé à marcher sur 2 ou 3 cm de boue verte épaisse. La plage était recouverte, on a trouvé ça bizarre ».Puis, quand la marée est remontée, vers 18 h, « j’y suis retourné et là c’était triste à voir. Il y avait des centaines de kilos, voire des tonnes de crustacés morts, que la mer ramenait par brassées à chaque vague. Tous les baigneurs se demandaient ce qui se passait. Les gens n’en croyaient pas leurs yeux ! Il n’y avait que les enfants pour encore oser se baigner. La plage à marée haute était impraticable... »
Hécatombe de crevettes en Vendée : la Loire-Atlantique touchée
Publié le 04 août 2014 par BlanchemanchePhoto Jean-Jacques RouxJean-Jacques Roux, Rezéen, a fait une étrange découverte, hier soir, sur la plage de Saint-Jean-de-Monts (Vendée) où il possède une résidence secondaire. « Il y avait des vagues de boucaux morts, de crevettes, de crabes, de pignons... Tous morts. Avec une odeur, je ne vous dis pas ». Il pourrait s'agir d'un phénomène d'étouffement lié à une certaine espèce d'algues, constaté également en Loire-Atlantiquedepuis quelques semaines, aux dires de l'Agence régionale de santéDéjà la veille,raconte Jean-Jacques, « ça sentait le poisson mort à plusieurs kilomètres à la ronde. A marée basse jeudi midi,sur la plage de Saint-Jean, on s’est retrouvé à marcher sur 2 ou 3 cm de boue verte épaisse. La plage était recouverte, on a trouvé ça bizarre ».Puis, quand la marée est remontée, vers 18 h, « j’y suis retourné et là c’était triste à voir. Il y avait des centaines de kilos, voire des tonnes de crustacés morts, que la mer ramenait par brassées à chaque vague. Tous les baigneurs se demandaient ce qui se passait. Les gens n’en croyaient pas leurs yeux ! Il n’y avait que les enfants pour encore oser se baigner. La plage à marée haute était impraticable... »