Pour autant que les questions économiques, liées aux crises et récessions, consacrent les préoccupations essentielles des décideurs politiques et la nomenklatura se disputant, l’autel des analyses, vouées à approfondir les théories et courants de pensée, de la discipline économique, pour infiniment, ces questions paraîtront usitées, au point de ressortir, à tout point de vue, le rapport de jonction et la confluence, supposés, caractériser, l’interaction entre les décisions politiques et les perspectives dûment conférées, par la vulgarisation, y compris l’extension des théories à propos,
A cet effet, ce lien ci-après, de V. Vodarewski, intitulé inflation et bulles, nous ressasse des divergences théoriques émanant de l’interférence des politiques publiques sur le champ d’application pérenne des théories économiques, lorsqu’il faut entrevoir la politique économique, sous l’angle exigu des conclusions libérales et néolibérales, mais non au contrario de sa fonction de régulation et de recapitalisation qui l’ont érigées en recours absolu, et en axe d’intervention publique, pour surseoir, à la crise de liquidité, à l’image de celle de 2008, puis qu’envisagées, sous un autre précepte, à savoir l’interventionnisme, y compris les innombrables difficultés, à pouvoir transcrire et faire usage, des théories, selon les préconisations, des édiles de la discipline, car seuls, gages de l’évaluation concrète, pragmatique, et proportionnée, des objectifs à atteindre, selon lui, mais aussi et surtout, nous plante, le décor des incohérences et les incompatibilités, résultant d’une synthèse, de la politique économique et les politiques publiques, lorsqu’il omet, à ce propos, que l’un des objectifs autant de la discipline économique que des politiques publiques, constitue simultanément, pour la première à optimiser la gestion des ressources rares, la fluctuation des échanges, la rationalisation des dépenses, j’en passe, avec pour finalité néanmoins, l’atteinte d’un seuil minimum de satisfaction des besoins, quand la seconde, aspire au mieux à créer un cadre de vie décent, augurer la recherche des moyens pour l’éradication de la pauvreté, au pire, à privilégier, le respect des promesses électorales.
Quoi qu’il en soit, lorsqu’il s’élance dans une rhétorique épurée, aux fins d’esquisse de la description théorique, de l’inflation qu’il essaye de mettre en corrélation avec les bulles, ou encore, quand il essaye de mieux poser une question fondamentale, relevant des conditions de création de la demande ou comment la stimuler, supposées, par nos prédécesseurs, soient par les dépenses publiques, c’est à dire, par extension la création monétaire ce qui est à l’origine de l’inflation de fait, notamment celle des prix à la consommation, ou encore quand il essaye de disjoindre, l’inflation des bulles, puis que la création monétaire, ne se fait nullement sur la base d’une richesse crée, on sent nettement qu’il se fait sienne un véritable énigme à résoudre, pour que la discipline échappe au diktat des politiques.
Au delà, lorsqu’il essaye de mettre à nue, une fuite en avant, consistant à légitimer la relance par la création monétaire, comme non explicative du gonflement des bulles, tout en indexant les bulles comme l’ennemi juré de la croissance, je crois, qu’il s’en prend un peu les pieds, dans la plateforme d’exploration des perspectives refluant incessamment sur la perception que nous nous faisons, de l’économie, à travers les bulles financières, l’inflation qui peut être tirée par le coût, la demande, tout comme le gonflement de la masse monétaire, en circulation, car, à la différence de la création monétaire comme source d’inflation, en sachant que dans la majeur partie des cas, où intervient la création monétaire, elle est souvent contenue, parce que s’étalant sur une période donnée, dans l’espoir qu’elle va booster l’économie, d’où l’effet inflationniste peut être modéré, quand le gonflement des bulles immobilières et financières, est souvent entretenu, par la demande, elle même entretenue par la spéculation.
En tout état de cause, il faut reconnaître, qu’entre l’optimisation de la gestion des ressources, et la recherche d’un seuil minimum de bien être, la lutte contre la pauvreté, se dévoile, l’inexorable obligation consistant à allier, les contingences de la discipline avec le devoir politique et moral, de pourvoir à la satisfaction des besoins inhérents à l’existence.
Autrement, pour l’heure toutes les mesures palliatives, du moins, celles imposées aux économies en crise de solvabilité, ainsi que les perspectives les mieux pourvues en matière de relance, de nos jours, viennent inexorablement consacrer la planche à billets..