Je ne sais plus trop si j’en ai déjà parlé, mais une magnifique (et très chère) PlayStation 4 décore désormais mon salon. Histoire d’en profiter un peu, j’ai décidé de me laisser séduire par le jeu Child of Light dont j’avais totalement adoré la bande-annonce. Vraiment. Un coup de coeur visuel et musical immédiat. Et je dois dire (coupons tout de suite court au suspense) que je ne le regrette pas du tout.
Child of Light : une pépite de RPG poétique
Histoire de faire les choses à fond, j’ai acheté l’édition collector du jeu. Au programme, quelques bonus plutôt chouettes, et du contenu additionnel qui ne se refuse pas. Le tout pour 19 euros, ce qui reste très raisonnable, même pour un jeu dématérialisé. Car avant de pouvoir se lancer au côté de la belle Aurora, il faudra patienter le temps du téléchargement du jeu, et c’est un peu long.
Comme je le disais un peu plus haut, Child of Light est un RPG, mais je crois vraiment qu’il pourrait séduire absolument tout le monde tant son univers est envoûtant, sublime et poétique. Dès les premières secondes on est totalement happé par le jeu, qui révèle des trésors d’intelligence. C’est simple, tout est remarquable. Les graphismes sont sublimes, la musique parfaite (et tant pis si elle est un poil répétitive, moi j’adore la BO) et la jouabilité est exemplaire. Diriger Aurora est un vrai bonheur dès les premières secondes du jeu.
Globalement, il faut un peu moins de dix heures pour terminer le jeu, et si cela peut sembler court, l’expérience est si agréable que l’on ne peut qu’être totalement sous le charme et comblé par cette expérience. J’ai particulièrement adoré le système de combat à l’ancienne avec une touche de stratégie en temps réel pour donner juste ce qu’il faut de piment à tout ça. Non, vraiment, si vous ne savez pas à quoi jouer pendant les vacances, un petit tour dans l’univers magique de Child of Light ne pourra que vous combler.