Aller hop, on prend les mêmes et on recommence. Mais en faisant une sorte de redémarrage qui n'en est pas un. Changement de héros (arrivé de Mark Wahlberg, en quadra intello et musclé), ajout de nouvelles dimensions (d'où viennent les Transformers), recherche de noirceur (les humains, ces traitres sans fin) et surtout tentative de toucher à bien des choses en un film de 2h45.
Alors c'est clair, Michael Bay sait faire un film long pendant lequel on ne s'ennuie pas du tout, en bon maitre du "blockbuster". Ca bouge tout le temps, c'est fluide, c'est beau et ça explose quand il faut. Par contre, à trop vouloir en faire, on est un peu déçu sur le fond. Car le réalisateur cherche à justifier l'arrivée des dinobots (et il y arrive bien) par une explication crédible, mais sur d'autres points ça pèche. Déjà, il explique assez mal l'alliance entre les humains de la CIA et un mercenaire extraterrestre. On comprend les choses, certes, mais un léger éclairage sur comment cette alliance a eu lieu aurait été cool.
Mais c'est le personnage incarné par Stanley Tucci (Joshua Joyce) qui est exploité pour aborder des thèmes profonds : bioéthique, réflexion sur la notion de progrès, recherche et science. Mais ces thèmes sont tellement survolés que le film perd en profondeur (mais en cherchait on réellement ?) et en noirceur assez vite. Et c'est bien dommage...
Reste que comme toujours Transformers est un film dont on sort en se disant "le scénario tenait sur 16 pages max mais que ce fut sympa quand même" et c'est bien là l'essentiel, non ?
Aller hop, on prend les mêmes et on recommence. Mais en faisant une sorte de redémarrage qui n'en est pas un. Changement de héros (arrivé de Mark Wahlberg, en quadra intello et musclé), ajout de nouvelles dimensions (d'où viennent les Transformers), recherche de noirceur (les humains, ces traitres sans fin) et surtout tentative de toucher à bien des choses en un film de 2h45.
Alors c'est clair, Michael Bay sait faire un film long pendant lequel on ne s'ennuie pas du tout, en bon maitre du "blockbuster". Ca bouge tout le temps, c'est fluide, c'est beau et ça explose quand il faut. Par contre, à trop vouloir en faire, on est un peu déçu sur le fond. Car le réalisateur cherche à justifier l'arrivée des dinobots (et il y arrive bien) par une explication crédible, mais sur d'autres points ça pèche. Déjà, il explique assez mal l'alliance entre les humains de la CIA et un mercenaire extraterrestre. On comprend les choses, certes, mais un léger éclairage sur comment cette alliance a eu lieu aurait été cool.
Mais c'est le personnage incarné par Stanley Tucci (Joshua Joyce) qui est exploité pour aborder des thèmes profonds : bioéthique, réflexion sur la notion de progrès, recherche et science. Mais ces thèmes sont tellement survolés que le film perd en profondeur (mais en cherchait on réellement ?) et en noirceur assez vite. Et c'est bien dommage...
Reste que comme toujours Transformers est un film dont on sort en se disant "le scénario tenait sur 16 pages max mais que ce fut sympa quand même" et c'est bien là l'essentiel, non ?