transformers 4
Transformers 4 ne déroge pas au genre dont il appartient : c’est un film d’action 100% pur jus. Ne cherchez pas de scénario, il est quasi inexistant comme tout bon film d’action qui se respecte. Cherchez du côté de ses effets spéciaux et sonores bien léchés sans compter son incroyable casting. Merci à Mickael Bay de nous servir cette production Paramount sur un plateau d’argent. Transformers 4 rentre dans la lignée marketing de ses prédécesseurs et franchement on adore ça. Vous hésitez encore à vous lancer sur la route de votre cinéma préféré, nous avons les arguments pour vous convaincre !
Transformers 4 et son scénario
Qui dit film d’action, de surcroit de science-fiction, dit film sans scénario. C’est le but même de ce genre de film né en 1982 par l’intermédiaire du célèbre Commando. Le film d’action est une de ces catégorie extraterrestre où l’histoire n’est là que pour ponctuer l’action d’une histoire sans queue ni tête. En l’occurrence, Transformers 4 tente de mettre en place avec peine un scénario, mais franchement est on vraiment là pour voir des scènes de blabla ? Et bien non ! Grâce à Mickael Bay, grand maître du genre de nos jours, de l’action on en a plein les yeux. Ça explose de partout, les boulons et les huiles de vidanges remplissent avec allégresse l’écran. Quel pied de voir ces robots s’en donner à cœur joie dans les combats pour notre plus grand plaisir.
Transformers 4 et son casting
Un bon film d’action, c’est obligatoirement un bon casting. C’est d’ailleurs l’un des premiers piliers pour pallier au manque de scénario. Et nous sommes vraiment très gâtés dans ce tout dernier opus de Transformers. Un miracle s’est produit car Mark Wahlberg a mis un coup de pied au cul de Shia Laboeuf pour prendre la place de l’ado boutonneux. On a affaire ici à un mec geek sans le sous, cherchant par tout type d’invention débile à se faire du pognon pour payer les études de sa fille majeure interprétée par la ravissante Nicola Peltz. Au final, on se retrouve avec les bases d’un film d’action classique : un beau mec et une belle nana. La modernité du genre veut que le père, héros du film, ait un truc contre les autres mecs qui tournent autour de sa jolie fille (ça me rappelle curieusement du Die Hard). En l’occurrence, le beau mec de la fille ce n’est personne d’autre que Jack Reynor.
Transformers 4 est magique par sa mise en scène et ses effets sonores
Dans un film d’action, on doit en prendre plein les yeux et les oreilles : c’est chose faite avec Transformers – l’âge de l’extinction. Plus de 2h30 d’explosions, de destructions, de pyrotechnie et j’en passe. On est dans un film massivement explosif d’un point de vue visuel et sonore. Dans Transformers 4, on commence par détruire une grange, histoire de s’échauffer. On tue aussi un humain, d’ailleurs c’est la première fois dans la saga que l’on voit un humain se faire tuer pour de vrai (d’habitude c’est suggéré au spectateur). Puis, crescendo, on va déboiter des immeubles voire carrément une ville entière !
Transformers 4 propose une mise en scène incroyable
Cerise sur le gâteau : la mise en scène (ou comment introduire les bons éléments au bon moment pour ne pas souffler le scénario). Reprenons notre brave héros sans le sous. Quoi de mieux que de mettre un zeste de « comme par hasard » (tout bon film d’action se doit d’avoir cet ingrédient magique). Donc comme par hasard, il découvre Optimus Prime dans une salle de cinéma. Puis comme par hasard, il est capable de le réparer (sachant qu’il ne connait pas la technologie). Et comme par hasard les vilains méchants le retrouvent… C’est comme ça pendant 2h45. Mais ne vous inquiétez pas, si cela n’existait pas dans Transformers 4, alors on aurait un film bien fade. Exemple final : comment intégrer les dinobots dans le film ? Ben un combat entre Optimus Prime et Grimlock… Vous voyez bien que c’est logique et efficace
On a vraiment adoré ce tout dernier opus et vous, qu’en avez-vous pensé ? Vous avez adoré ? Voir détesté ?
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