- que chacun fait ce qu’il veut avec son culte. Le culte de l’Amaroli est un rituel pour se laver soi-même, intérieurement s’entend, et spirituellement bien sûr, une des clés les plus puissantes pour se remettre en phase avec le flux de vie et découvrir les forces d'auto-régénération du corps, ce qui n’est pas rien, reconnaissez-le. Ce culte ouvre l’individu à une capacité de vibration et de pulsation avec l'univers tout entier, ce que personne ne devrait négliger tant ça paraît trop super extra de le faire. Le culte de l’Amaroli, ou urinothérapie, consiste à boire une partie de son urine pour entretenir sa santé ou se soigner. Notez qu’il est de surcroît très peu onéreux. Donc, Tchin, les gens. Choisissez votre chemin, votre voie, votre loi, vos croyances, choisissez, mais n’oubliez surtout pas de ne pas imposer.
- que, ces dernières années, l'acteur Daniel Auteuil est passé à côté de deux des plus gros succès du cinéma français. Question de choix, ou de flair. A-t-il perdu de l’argent, laissé passer une notoriété encore plus grande ? En 2008, il refusa un rôle dans le film Bienvenue chez les Ch´tis, et fut remplacé par Kad Merad. 20 489 303 entrées. Mais Kad a-t-il été payé au pourcentage d’entrées ? Et Daniel a-t-il besoin d’argent ? A-t-il une éthique propre, des choix artistiques spécifiques ? Trois ans plus tard, il refusa le rôle de Philippe, le richissime handicapé, dans Intouchables. 19 440 920 entrées. En même temps, certains pourraient dire que le succès des deux films était peut-être dû à l’absence de Daniel Auteuil dans la distribution. On pourrait dire ça aussi. Choisissez votre chemin, votre voie, votre loi, vos croyances, choisissez, mais n’oubliez surtout pas de ne pas imposer.
- qu’on peut passer une porte, entrer dans une autre pièce et oublier ses pensées. Ça arrive. Et ça porte même un nom, ce passage de porte. Ce phénomène de trou de mémoire est appelé le Doorway effect. Le cerveau réagirait en passant d'un environnement à un autre et segmenterait et classerait les souvenirs et tâches propres à chacun, si bien qu’on oublierait dans un ce qui s’est passé dans l’autre. Le fameux : je ne sais pas ce que je venais y faire ou ce que je ne venais y chercher. Faut-il donc entraîner son cerveau à penser autrement ? Faut-il supprimer toutes les portes de sa maison, de tous les locaux qu’on fréquente, toutes les portes du monde, restaurants, hôtels, hôpitaux ? Doit-on transformer le monde en un open space géant ? Choisissez votre chemin, votre voie, votre loi, vos croyances, choisissez, mais n’oubliez surtout pas de ne pas imposer.