Depuis 1895, le savoir-faire et les secrets de la joaillerie sur mesure ont été transmis par chaque génération au sein de la dynastie De Grace.
Dans les années 50, notre famille a notamment réalisé des boîtes à lettres en dentelles, de fils d’or et d’argent, pour le Vatican sous les directives de Sa Sainteté Pie XII.
En 1972, Jacques de Grace a abordé personnellement le travail du diamant. De la conception d’une maquette au sertissage, en passant par le polissage, il a appris chaque étape de la fabrication d’un bijou. Il a ensuite sillonné le monde afin de trouver les plus belles pierres et les fournir aux joailliers de la Place Vendôme. Ainsi s’est-il
lancé progressivement dans la haute joaillerie, créant des pièces uniques pour une clientèle prestigieuse.
C’est en 1985 qu’il fonde la Maison de Grace. A partir de 1990, grâce à l’ouverture du marché du Golfe Persique, il signe d’importantes pièces pour le Sultanat de Brunei, une collection d’objets raffinés jouant subtilement avec les codes d’un érotisme élégant ; plus tard, le Prince Al Thani du Qatar lui confiera la réalisation d’une maquette en or et lapis lazuli symbolisant la grandeur de son pays : c’est cette précieuse maquette que l’Emir offrira à l’ONU, à l’occasion de son Millénium.
A l’instar de ses ancêtres, Jacques de Grace transmet sa passion à son fils Grégory qui, très jeune, l’accompagne à de nombreuses expositions, jusqu’à poursuivre la saga de Grace.
Simplicité, modernité et audace sont les caractéristiques de ces pièces présentés lors de la semaine de la Haute Couture à Paris: leur âme reflète la beauté et la majesté de la Femme. Ainsi, femmes et joyaux deviennent-ils indissociables pour célébrer les temps forts de nos vies.