

Tous ces détails, à l'exception du crime, rendent l'intérieur très cosy, très connoté années 1930. On s'attend à voir Josephine Baker entrer dans sa cabine. Parmi les petits dispositifs sympathiques, notons les reproduction des journaux papier de l'époque qui intègrent l'écran d'une tablette et laissent voir des actualités des années 20-30. Tout cela est donc très décoratif mais très peu muséal : pas de cartel ou d'explication, c'est votre guide qui devrait les donner... mais il n'est pas toujours très bavard. On admire au passage le décor très Art déco des wagons et notamment le travail de Lalique. Puis, 10-15 minutes après être entrés dans les wagons, il vous faut déjà sortir. Il faut dire que derrière vous, ça enchaîne ! Pas moyen de s'attarder ou de faire demi-tour, vous voilà à nouveau sur le parvis. Un peu frustrés, il faut bien l'avouer, de n'avoir pu regarder les détails de ces reconstitutions.

