Quatre profils différents mais une passion commune, voilà ce qui fait la force du Pas vu pas pris (« PVPP » pour les intimes).
Charly a le commerce dans le sang, Baudoin s’occupe des bons petits plats, Grégoire de l’évènementiel et la communication et Bertrand est un entrepreneur dans l’âme. Deux frères, deux copains et un rêve de gosse qui a vu le jour en Novembre 2012.
Situé dans une petite rue calme au cœur d’un quartier vivant, les grandes baies vitrées du PVPP s’ouvrent et se ferme selon la météo. A l’intérieur on y trouve une atmosphère « pierre-bois-poutres » et des luminaires et chaises chinés avec goût.
Si le PVPP est qualifié comme étant « la meilleure planque de tout Paris », c’est avant tout pour l’ambiance qui y règne. On s’y sent bien, tout simplement ! L’ambiance est décontractée, familiale, on a juste l’impression d’être avec une bande de pote.
Toutefois, on ne va pas au PVPP uniquement pour l’ambiance et pour son rond de serviette (car oui, chaque habitué a son propre rond de serviette, fait sur mesure).
On y va aussi pour la cuisine ! Les entrées sont plus qu’appréciées et les clients vont parfois même jusqu’à les demander en plat, afin d’en avoir plus. Les burgers sont inévitables, ils changent au rythme des saisons et ne nous déplaisent jamais. La carte, elle, change aussi midi et soir afin de ne pas lasser nos palais. On y trouve des produits de saison, des planches de charcuteries, les suggestions des clients et surtout on trouve la viande de Galice (rappelons le, élue meilleure viande au monde).
Pour ce qui est des évènements organisés (car oui on a envie d’y aller en plus du déjeuner et du diner), ces messieurs savent y faire ! Matchs de foot/rugby, dédicaces de livres, meetings d’entreprises, dégustations et autre, l’endroit est privatisable, et tout ce qui compte pour eux, c’est de satisfaire leurs clients.
Vous l’aurez compris, on y va pour deux choses primordiales : l’accueil exceptionnel et la vraie cuisine de bistrot de qualité. Heureusement pour nous, les 4 copains ont d’autres projets en tête et n’ont pas finis de nous réchauffer le cœur et les assiettes…
Quittons-nous (pour mieux se retrouver) sur la devise du PVPP, « si l’union fait la force, l’oignon fait la farce » !
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