Réalisateur: Matt Reeve
Avec : Andy Serkis, Jason
Clarke, Gary Oldman
Titre Original: Dawn of the planet of
the apes
Distributeur:
Twentieth Century Fox France
Date
de Sortie : 30 juillet 2014
Durée : 2h11
Synopsis : Une
nation de plus en plus nombreuse de singes évolués, dirigée par César, est
menacée par un groupe d’humains qui a survécu au virus dévastateur qui s'est
répandu dix ans plus tôt. Ils parviennent à une trêve fragile, mais de courte
durée : les deux camps sont sur le point de se livrer une guerre qui décidera
de l’espèce dominante sur Terre.
Mon
avis : Avant toute chose ;
recontextualisons, beaucoup d'entre vous se diront, mais comment a-t-il pu voir
un film qui ne sort que le 30 juillet ?
Non,
non, je n'ai pas piraté le film ni quoi que se soit d'autre, mais j'ai été le
voir à sa sortie en Espagne le 18 juillet. Pour une fois qu'un film sort avant
en Espagne qu'en France, j'en profite.
La
planète des singes : l'affrontement commence là où s'été arrêté Les Origines,
le premier prequel. L'humanité suite à un virus mortel est en train de
disparaître lorsque dans le même temps les singes se développent, avec a leur
tête César.
Avant
d'aller voir le film, je m'attendais à retrouver du fantastique, des aventures,
mais c'est avant tout de l'épique des batailles et de la guerre.
J'ai
fait l'erreur d'aller voir ce film avec mon amie, qui n'aime pas du tout ce
genre de film, qui s'est retrouvé la première heure à s'ennuyer car la mise en
place est assez lente. Et a ne pas vouloir regarder l'écran la deuxième du a la
violence. Certes ce n'est pas si violent, mais elle est susceptible.
À
mon goût, ce film n'est pas mal, cependant, il ne révolutionne pas le style et
ne fait pas de mal à la licence de la planète des singes, sans pour autant lui
faire du bien.
C'est
assez cliché des trahisons, le fils trahi le père et fini par se rendre compte
que le père avait raison. Koba le bras droit de César voit les choses
différemment pour César, il faut pouvoir vivre en harmonie avec les hommes et
pour Koba l'homme est mauvais ; il doit disparaître. En voulant montré que les
hommes sont mauvais, il devient aussi mauvais qu'eux. et fini par faire ce que
seuls les hommes sont capable de faire: s’entre-tuer
Comme
dans toute saga, l'on a tendance à vouloir comparer avec les épisodes
précédents et ce nouvel opus tout comme Les Origines de 2011, ont leur qualité,
mais ne sont pas encore du niveau de La Planète des singes de 1968 avec
Charlton Heston.