On ne mord que deux fois, de Chloe Neill

Les Vampires de Chicago, tome 8 : On ne mord que deux fois, de Chloe Neill

Broché : 432 pages
Éditeur : Milady
Date de parution : 18 Avril 2014
Collection : Bit-Lit
Langue : Français
ISBN-10 : 2811211748
ISBN-13 :978-2811211745
Disponible sur liseuse : Non

Prix éditeur : 8€20

Son résumé :

Merit et son Maître, Ethan Sullivan, ont risqué leur vie à de multiples reprises pour sauver leur ville. Malheureusement, l’amour qu’ils lui portent n’est pas toujours réciproque. Des émeutes anti-crocs éclatent un peu partout. Les agitateurs les plus virulents appartiennent à un groupuscule haineux fermement déterminé à débarrasser la Ville des vents de ses citoyens buveurs de sang. Merit et ses alliés doivent découvrir qui se trouve derrière ces attaques et s’il existe un moyen de mettre un terme à ces violences. La bataille de Chicago ne fait que commencer…

Mon avis :

Ce n’est plus un secret, Les Vampires de Chicago fait partie de mes séries de bit-lit préférées et surtout, a su rester un coup de cœur tout au long de ma découverte de l’univers de l’auteur. Et ce tome-ci, est probablement le meilleur de la saga à mon goût tant c’est un régal que de suivre les aventures d’Ethan et Merit, mais aussi surtout des Vampires Cadogan et Grey, ainsi que tous les autres personnages.

On connaissant la part sombre de Chloe Neill avec la fin du quatrième opus, et une fois encore, l’auteur nous démontre tout son savoir en la matière. On ne mord que deux fois (titre qui m’a sans cesse rappeler un James Bond) est très très sombre et ce sont des vampires en pleine tourmente, confronté à des attaques qui ne semblent pas avoir de logique, que nous retrouvons dans cet opus. Et les messages qu’il transmet sont si forts, si beaux, qu’ils nous donnent envie de croire en l’humanité.

Ce que j’aime tout particulièrement dans les romans de cette auteur, c’est sa capacité à rendre ses vampires plus humains, plus proches de nous, et à travers cela à nous pousser à réfléchir sur nous-même. Violence, amour, solidarité, intolérance, peu importe le sujet, Chloe Neill brille par ses idées et sa plume envoûtante ! Plus que de la fiction, ces romans ont un impact réel dans notre réalité, et s’ils sont là pour nous divertir, ils ne nous empêchent pas de réfléchir pour autant.

Avec On ne mord que deux fois, on se retrouve donc avec une histoire plus sombre. On en apprend sur McKetrick, on découvre beaucoup de choses sur le PG et sur la Maison Grey, on redécouvre certains personnages comme Mallory et on éprouve beaucoup de sentiments. Joie, amour, peine, déchirement, colère. Ce tome est un véritable condensé d’émotions et d’actions ! Rien ne s’arrête, tout va à 200 à l’heure et on arrive à la fin du roman avec l’impression que l’on venait pourtant seulement de la commencer.

Et, une fois n’est pas coutume, l’auteur nous laisse sur un cliffhanger assez… Inattendu. J’avoue être très curieuse de ce que le prochain opus nous réservera, espérant qu’il sera aussi bon que celui-ci et que l’on verra un peu plus les loups-garous de Gabe. Quoiqu’il en soit, ce tome fut un régal, une véritable merveille même. Une série qui suit son fil rouge quoiqu’il arrive et qui garde une cohérence, même après huit tomes et qui mérite d’être lue. Et, je l’admets, je me suis tellement attachée à Ethan et Merit, que le jour où il faudra les quitter, ça sera bien difficile.

Excellent