Depuis quelques minutes seulement, j’ai en mains un exemplaire de mon nouveau roman « Une Diva amoureuse » ! Il vient d’arriver de Toulouse (comme c’est un colis avec mes exemplaires… je trouve bien que mes premières lectrices l’aient eu un jour avant moi !) et vous pouvez imaginer le bonheur que l’on ressent. Les mots ont pris forme, l’histoire s’est concrétisée – et dans ce cas encore mieux avec quelques dessins intérieurs qui suggèrent le décor – et il ressemble à ce qu’on en attendait !
Je vais d’un endroit à l’autre au hasard des pages : les prénoms des personnages Marie-Eve, Genovefa, et surtout Arthur et Jeanne. Jeanne est la diva amoureuse.
Vous aimerez, j’espère, cette histoire d’amour, de vie, de métier qui se déroule dans le milieu du théâtre (que je fréquente un peu depuis quelques années) où justement on « joue » sur les « apparences » ! Je le ressens d’autant mieux après avoir passé toute ma carrière dans l’audio-visuel !
Ce nouveau « bébé littéraire » sort juste à temps pour les lectures de vacances, il n’est pas trop épais, pas difficile d’accès.
Mais j’attends vos avis. Une critique, Karine Flejo, dont on a repris un paragraphe en quatrième de couverture, a été enthousiaste dans une lecture avant parution. Je lui dois déjà ce pré-bonheur et je l’en remercie !
Le bouche-à-oreille fonctionnera peut-être. C’est encore le meilleur moyen de diffuser une création dans cette période de mondialisation. On passe par les sites, les forums, les réseaux sociaux. Les avis incitent à partager.
De plus, la jeune maison d’édition Ikor, installée à Toulouse (mais justement, ce pourrait être partout!) a des initiatives nouvelles, qui s’appuient sur les expériences passées : l’envoi par exemple est quasi immédiat après la commande sur leur site, ou par votre libraire, et pour l’instant pas de frais d’envoi pour l’Europe (ou 0.01 euro ! LOL)
Il suffit de cliquer sur le titre : http://www.ikoreditions.com/
Une phrase au hasard, prise à la page 102, où le personnage cite Marguerite Yourcenar : « L’alcool dégrise. Après quelques gorgées de cognac, je ne pense plus à toi ! »
Vous me promettez, si vous avez la gentillesse, si vous me faites l’amitié de me lire de me faire connaître votre avis ? Merci !