Et pourtant, le match a été suivi dans la nuit par toutes sortes de rixes et de vandalismes dans le secteur de l'Obélisque, comme toujours dans ce genre d'événement où il faut systématiquement que la police emploie les grands moyens contre de petits groupes d'excités qui ne savent pas s'exprimer autrement que par la violence. On a relevé soixante-dix blessés qui ont été répartis dans différents hôpitaux. Les mêmes désordres se sont produits dans d'autres villes du pays, à une échelle moindre toutefois.
On a appris aujourd'hui que le Pape François n'avait pas regardé la rencontre et n'a suivi aucun des matchs de cette coupe, pour se tenir à la stricte neutralité promise à Dilma Roussef.