Quatrième de couverture : Dans le monde de Harris Burdick, les morts se mêlent aux vivants et la pensée devient matière. Les pages de certains livres s’écrivent et se réécrivent toutes seules. Des jumeaux rebelles s’inventent une troisième sœur, qui acquiert peu à peu une véritable existence, et se révèle encore plus rebelle qu’eux. Des petites filles, dans leurs nurseries, s’élèvent discrètement de leurs berceaux et se mettent à flotter dans les airs.
Mon avis : Lorsque j'ai découvert que dans ce recueil de nouvelles, il y avait une nouvelle de Stephen King, je n'ai pas pu faire autrement que de me le procurer afin de découvrir la nouvelle intitulée « La maison de Maple Street ». Et Stephen King avec cette nouvelle m'a agréablement surpris, il n'est pas question d'horreur, mais une maison qui se transforme petit à petit et qui finira par changer la vie de quatre enfants et leur mère. Cette maison emportera avec elle ce beau-père qui est d'un désagréable...
On suit les aventures de ces quatre enfants et adolescents qui découvrent et mettent en place une machination pour se débarrasser de ce beau-père le plus désagréable et encombrant. Pour l'amour de leur mère, ils feront l'impossible. En lisant cette nouvelle, j'avais un peu l'impression de retrouver ces films des années 80's-90's signé Spielberg qui avaient comme protagonistes un groupe de jeunes adolescents. Cette fois-ci, ils ne changeront pas le monde, mais changeront le sens de la vie de leur mère.
Chris Van Allsburg pour ce recueil de nouvelles, a proposé à plusieurs auteurs mondialement connus d'imaginer une histoire autour d'une simple et belle illustration. Bon le petit problème ici, c'est que cette nouvelle, somme toute fort sympathique est présente dans le recueil de nouvelles « Rêves et cauchemars ».
Passé cette petite déception, je me suis rattrapé un auteur que je n'avais jamais lu. Tabitha King qui n'est autre que la femme de notre cher et tendre Stephen King.