Private Room à Lille, un espace bien-être ‘spécial amoureux’
Imaginez tous les ingrédients possibles pour réussir une soirée et une nuit privée en amoureux : un cadre romantique, une lumière tamisée et sensuelle, un espace bien-être totalement privé au sein d’une superbe cave voutée avec spa, sauna et douche tropicale. Et tout ça au cœur de la magnifique ville de Lille, dans le joli quartier branché de la vieille ville (‘le vieux Lille’).
S’il fallait définir les Private Room (40 et 28), j’hésiterais entre ‘hôtel et espace bien-être’ mais c’est bien plus évident de qualifier les Private Room comme des Appartements Spa Privatifs. Un cadre intime et glamour idéalement conçu pour une nuit romantique en amoureux.
Les concepteurs des Private Room ont tout prévu et aménagé : le design, l’équipement digne d’un hôtel de luxe, un décor moderne, stylisé très original, un lit king size avec, il fallait oser, ‘LE’ miroir au-dessus du lit (pour le Private Room 40), l’hyper propreté des lieux (l’eau du jacuzzi est changée à chaque passage), un accueil room service efficace (mini bar, accords avec les restaurateurs, bars et commerçants du coin, …), une cuisine séparée complètement équipée qui vous permet si vous le souhaitez de préparer des petits repas sympas ou votre petit déjeuner, un équipement audiovisuel dernière génération sous le contrôle d’une tablette (écran plasma grand format, console son pour Iphone, lecteur dvd avec films programmés, Blue tooth, …), l’accès internet wifi gratuit, … Bref, du pur bonheur. Tout a été conçu pour vous faire passer une soirée romantique, une nuit câline, une nuit divine, … En amoureux.
Les nuitées dans les Private Rooms (28 et 40) à Lille se louent la semaine et les week-end et, petit conseil d’ami, vous avez intérêt à réserver si vous comptez faire une belle surprise à votre chérie (ou chéri).
Le site des Private Rooms avec l’explication détaillé du concept, les FAQ, les tarifs, … : http://lille.private-room.fr
A relire également ‘J’ai testé pour vous l’Appartement Spa Privatif’ (article publié en avril 2012)