Le retour au bercail est plus dur que prévu pour notre héroïne de la coupe du monde. Après avoir fait la une de tous les journaux et affolé les compteurs de son profil Facebook, Axelle Despiegelaere doit se mordre les doigts de cette popularité soudaine.
Après le buzz, le bad buzz !
Les réseaux sociaux ne se déchaînent plus pour sa beauté mais pour un post qu’elle a publié le jour où les Diables affrontaient les États-Unis en huitièmes de finale : Aujourd’hui, on part à la chasse aux Américains. Ces quelques mots étaient accompagné d’une photo prise un an plus tôt lors d’un safari en Afrique où on voit la jeune fille de 17 ans, fusil à l’épaule, poser devant le cadavre d’une antilope. Ouch !
Du coup, L’Oréal Professionnel Belgique a pris ses distances et ce n’est plus un joli contrat qu’elle aurait signé mais uniquement une collaboration ponctuelle. Sur le journal La DH, on peut lire les propos de la responsable marketing de la marque de luxe, Béatrice Dautzenberg :
Ce n’est pas une égérie de L’Oréal. Nous l’avons contactée la veille du quart de finale pour lui proposer une collaboration ponctuelle qui portait sur la réalisation d’une vidéo dans un salon de coiffure avant le match et de quelques selfies, photos durant le match. (…) L’idée, c’était d’utiliser l’image de cette jeune fille dont on parle sur le net, les réseaux sociaux et dans les journaux, pour générer du trafic dans les salons de coiffure avant d’aller voir le match (…) C’était une opportunité particulière à un moment particulier (…) Nous n’avions pas connaissance de ce trophée de chasse mais cela relève de sa vie privée et n’appelle aucun commentaire de notre part.
Après avoir été utilisée, voici sa réputation salie. Pas certain que son quart d’heure de gloire ait un arrière goût savoureux.