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Curcuma contre Chikungunya

Par Affaircenter @affaircenter

Le curcuma combattrait les effets du chikungunya

moustique

Le Curcuma, l’épice indienne qui empêche la propagation du virus par les moustiques – chikungunya

Un Tweet de Washington , le 17 AoĂťt 2002 ( ANI ):

Les chercheurs dirigés par un Indien d’origine ont constaté que la populaire épice indienne curcuma propose bien plus que sa saveur. En effet ses curcuminoĂŻdes contenu à 2% dans son rhizome (ou tubercule) sont prometteurs dans la lutte contre les virus dévastateurs par son action antioxydante et anti inflammatoire.

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Selon Aarthi Narayanan, investigateur principal de l’étude de Mason du centre National pour la Biodéfense des maladies infectieuses, la curcumine, trouvés dans le curcuma, combat et stoppe le danger mortel virus du Rift Valley Fever l’empêchant de se multiplier dans les cellules infectées.

La Rift Valley Fever provenant des moustiques chikungunya ( FVR ) est un virus aiguĂŤ, la fièvre qui survient affecte les animaux domestiques tels que les bovins, ovins et caprins, ainsi que les humains…

«Ayant grandi en Inde, j’ai eu le curcuma comme alimenation tout au long de ma vie », a déclaré Narayanan. « Chaque fois que mon fils a une infection de la gorge, je lui donne du curcuma, » dit-elle.

Elle a souligné qu’il y a encore beaucoup de travail d’information à faire avant de produits pharmaceutiques à base curcumine deviennent monnaie courante. Tant l’économie serait importante pour les consommateurs, mais beaucoup moins pour les pharmacies!

Elle prévoit de tester 10 versions différentes de concentré de curcumine et à déterminer celle qui fonctionne le mieux. Elle a également l’intention d’appliquer la recherche à d’autres virus, dont le VIH.

Narayanan a longtemps voulu explorer les propriétés anti-infectieuses de curcuma, en particulier sa composante clé, la curcumine.

« La curcumine du curcuma n’est pas assez prise au sérieux parce que c’est une épice, » dit-elle.

Cependant, la science est en train de transformer cette épice de la médecine traditionnelle afin d’aider des patients à combattre un virus, une inflammation, une douleur car il peut empêcher le virus de contaminer les cellules saines.

Ces «inhibiteurs à large spectre » travail en combattant un large éventail de virus. « La curcumine est, par sa nature même, à large spectre», dit-elle.

« Cependant, dans l’article publié, nous apportons la preuve que la curcumine peut interférer avec la manière dont le virus agit sur la cellule humaine et la protégeant, nutralisant toute inflammation, dans le même temps stoppant la prolifération et en aidant la cellule à se régénérer», at-elle ajouté.

L’étude a été publiée dans le Journal of Biological Chemistry. (ANI) - http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3886587/ – http://www.amrita.edu/school/pharmacy/research

Depuis ce post de 2002, les études médicales de recherche se sont multipliées pour atteindre les 7000 environ avant 2015. C’est une réelle mine de bienfaits pour notre santé, et n’en déplaise aux lobbies pharmaceutiques bornés, les résultats sont là, validés par les plus hautes instances en oncologie, chimie, naturopathie… Chaque semaine démarre des études officielles sur les actions spécifiques à tel ou tel mal, infection, inflammation..

Prenez le temps de vous en informer dans nos pages.



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