Test – Child of Light – PS4

Voici avec un peu de retard mon test sur Child of Light.

Et heureusement qu’il y a eu une version collector du jeu, car sinon je serai surement passé à coté. Child of Light étant disponible seulement en téléchargement. Child of Light est développé par Ubisoft Montréal et publié par Ubisoft.  Dans Child of Light, vous incarnez Aurora, une princesse prisonnière d’un monde parallèle.Vous devrez donc l’aider à s’échapper de ce monde. La bonne nouvelle, vous ne serez pas seul pour y arriver car d’improbables alliés seront présents pour vous aider à résoudre votre quête. Child of Light raconte l’histoire d’Aurora, une jeune fille en 1895 en Autriche qui contracte une maladie qui la plonge dans un sommeil profond. En se réveillant, Aurora se retrouve dans le monde mythique de Lémuria, dont le soleil, la lune et les étoiles ont été volés par la Reine Noire. Aurora tâchera de recouvrer les astres célestes et revenir dans son monde d’origine pour retrouver son père. Pour commencer le jeu étonne par ces magnifiques graphismes dessinés à la main et en 2D. Ensuite, tous les dialogues du jeu sont écrits en rime sauf pour Rubella, mais Igniculus se chargera d’y remédier. Vous pourrez facilement découvrir le monde de Lemuria et partir à la recherche des multiples trésors mais aussi des astres célestes. Mais ce ne sera pas si simple car des ennemis vous barreront la route. Pour les éliminer, le jeu propose un système de combat à la Final Fantasy, avec un jeu au tour par tour.  Chaque personnage ayant ses propres caractéristiques, il suffit de bien les connaitre pour arriver à bout.

• Aurora. Protagoniste principal du jeux. Jeune fille qui suite à sa maladie se retrouve dans un monde merveilleux : Lémuria. Elle détient des compétences particulièrement puissantes face aux adversaires obscures.
• Rubella. Clown joyeux, elle sert de soigneuse dans le groupe.
• Finn. Il s’agit d’un « Capilli », il sert de magicien dans le groupe.
• Norah. C’est la soeur de Aurora, elle peut ralentir les adversaires.
• Robert. C’est une souris et un archer.
• Tristis. Clown triste, il peut procurer des boucliers aux autres membres du groupe.
• Oengus. Il fait partie du peuple des « Kategidas », il est le membre le plus robuste du groupe.
• Gen. Elle est une piscéenne qui grâce à sa lyre peut ralentir ou paralyser les ennemis.

Igniculus fait guise de lumière et de curseur souris au cours du jeux. Il a la capacité de ralentir les adversaires et de soigner les héros dans les phases de combat.

Quelques missions secondaires sont présentes mais je les ai trouvées sans grand interet.

Au fil de l’aventure, vous pouvez ramasser des pierres pour créer des occulus qui serviront à améliorer vos pouvoirs mais même sans les monter au maximum, on peut s’en sortir

Au final Child of Light est un bon jeu qui vaut le coup par son prix et sa durée de vie. Mais aussi par son approche différente des jeux AAA du moment. On pourra cependant regretter le gameplay assez répétitif et les combats un peu trop facile

Voici avec un peu de retard mon test sur Child of Light. Et heureusement qu'il y a eu une version collector du jeu, car sinon je serai surement passé à coté. Child of Light étant disponible seulement en téléchargement. Child of Light est développé par Ubisoft Montréal et publié par Ubisoft.  Dans Child of Light, vous incarnez Aurora, une princesse prisonnière d'un monde parallèle.Vous devrez donc l'aider à s'échapper de ce monde. La bonne nouvelle, vous ne serez pas seul pour y arriver car d'improbables alliés seront présents pour vous aider à résoudre votre quête.   Child of Light raconte l'histoire d'Aurora, une jeune fille en 1895…

Vue d'ensemble des tests

Gameplay

Graphisme

Bande Son

82

A faire

Résumé : Un jeu qui change et à petit prix, alors pourquoi s'en priver. Dans l'ensemble un peu facile, mais quand même accrocheur

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