Malgré l’importante mobilisation pour son rejet, le gouvernement a donc agréé la proposition de convention assurance-chômage présentée par le patronat et trois syndicats. Les intermittents ont appelés à développer la mobilisation et de faire de cette journée du 4 juillet un temps fort de la lutte pour l’indemnisation de toutes les formes de chômage et de précarité. Ils se sont ensuite diriger vers la Direction Générale du Travail, institution sensée garantir le respect du code du travail, pour imposer au directeur de recevoir une délégation pour entendre nos revendications
Un emploi c’est un droit ! Un revenu c’est un dû !