Quatrième de couverture :Lundi 10 février 1941, Washington, hôtel Bellevue. Un homme arrivé la veille est retrouvé mort d'une balle dans la tête, une arme près de lui. La police conclut au suicide. Nul ne sait encore que l'inconnu a été l'un des plus importants agents secrets des services de renseignements soviétiques, le témoin des pires conflits politiques du XX e siècle. Un suicide, vraiment ?... En 1936, Victor rêve encore de la révolution mondiale quand il découvre l'emprise stalinienne sur la révolution en Catalogne – prisons secrètes dignes de l'Inquisition, assassinats de militants soupçonnés de trotskysme, trafics d'œuvres d'art. Malgré lui, il participe à l'élimination d'un transfuge soviétique, mais il est trop tard pour quitter les rangs ; l'époque est à la suspicion et aux purges. Tandis qu'à Moscou, les fonctionnaires du NKVD se défenestrent pour échapper à l'arrestation et aux tortures, Victor doit gagner Paris et honorer une mission : la traque de son meilleur ami et l'assassinat de la femme de celui-ci. En dépit des menaces qui pèsent sur sa propre famille, il refuse de commettre ce dernier crime. Désormais condamné à une exécution officieuse, le chasseur Krebnitsky devient gibier, ne pouvant plus compter que sur sa ruse et son talent de caméléon. Il reste un moment à Paris auprès du fils de Trotsky, sous la protection du gouvernement de Léon Blum, dans l'ombre des nombreux intellectuels français qui chantent les prodiges du socialisme russe. Puis il fuit aux États-Unis, une arme explosive en poche : le document secret prouvant la trahison et le " grand mensonge " de Staline. S'en servir signifie la mort. Pourtant, c'est la seule chance qu'il lui reste de sauver son épouse et son fils... Vaste fresque au parfum de roman d'espionnage à travers l'Europe de l'Ouest et l'Amérique de la fin des années 1930, inspiré d'événements réels, comme l'affaire Ignace Reiss, Avis à mon exécuteur dénonce les ravages de l'infiltration, la lâcheté des gouvernements occidentaux de l'époque et l'embrigadement des plus grands esprits du XX e siècle : Louis Aragon, Elsa Triolet, Henri Barbusse, Romain Rolland, les Américains Dashiell Hammett et Lillian Hellman et l'Allemand Bertolt Brecht...
Magazine Culture
Auteur: Romain Slocombe
Titre Original: Avis à mon exécuteur
Date de Parution : 21 août 2014
Éditeur : Robert Laffont
Nombre de pages : 504
Rentrée Littéraire 2014
Prix : 21,00€ 20,90
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Avis à mon exécuteur
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Avis à mon exécuteur (Version Kindle) 12,99€
Quatrième de couverture :Lundi 10 février 1941, Washington, hôtel Bellevue. Un homme arrivé la veille est retrouvé mort d'une balle dans la tête, une arme près de lui. La police conclut au suicide. Nul ne sait encore que l'inconnu a été l'un des plus importants agents secrets des services de renseignements soviétiques, le témoin des pires conflits politiques du XX e siècle. Un suicide, vraiment ?... En 1936, Victor rêve encore de la révolution mondiale quand il découvre l'emprise stalinienne sur la révolution en Catalogne – prisons secrètes dignes de l'Inquisition, assassinats de militants soupçonnés de trotskysme, trafics d'œuvres d'art. Malgré lui, il participe à l'élimination d'un transfuge soviétique, mais il est trop tard pour quitter les rangs ; l'époque est à la suspicion et aux purges. Tandis qu'à Moscou, les fonctionnaires du NKVD se défenestrent pour échapper à l'arrestation et aux tortures, Victor doit gagner Paris et honorer une mission : la traque de son meilleur ami et l'assassinat de la femme de celui-ci. En dépit des menaces qui pèsent sur sa propre famille, il refuse de commettre ce dernier crime. Désormais condamné à une exécution officieuse, le chasseur Krebnitsky devient gibier, ne pouvant plus compter que sur sa ruse et son talent de caméléon. Il reste un moment à Paris auprès du fils de Trotsky, sous la protection du gouvernement de Léon Blum, dans l'ombre des nombreux intellectuels français qui chantent les prodiges du socialisme russe. Puis il fuit aux États-Unis, une arme explosive en poche : le document secret prouvant la trahison et le " grand mensonge " de Staline. S'en servir signifie la mort. Pourtant, c'est la seule chance qu'il lui reste de sauver son épouse et son fils... Vaste fresque au parfum de roman d'espionnage à travers l'Europe de l'Ouest et l'Amérique de la fin des années 1930, inspiré d'événements réels, comme l'affaire Ignace Reiss, Avis à mon exécuteur dénonce les ravages de l'infiltration, la lâcheté des gouvernements occidentaux de l'époque et l'embrigadement des plus grands esprits du XX e siècle : Louis Aragon, Elsa Triolet, Henri Barbusse, Romain Rolland, les Américains Dashiell Hammett et Lillian Hellman et l'Allemand Bertolt Brecht...
Quatrième de couverture :Lundi 10 février 1941, Washington, hôtel Bellevue. Un homme arrivé la veille est retrouvé mort d'une balle dans la tête, une arme près de lui. La police conclut au suicide. Nul ne sait encore que l'inconnu a été l'un des plus importants agents secrets des services de renseignements soviétiques, le témoin des pires conflits politiques du XX e siècle. Un suicide, vraiment ?... En 1936, Victor rêve encore de la révolution mondiale quand il découvre l'emprise stalinienne sur la révolution en Catalogne – prisons secrètes dignes de l'Inquisition, assassinats de militants soupçonnés de trotskysme, trafics d'œuvres d'art. Malgré lui, il participe à l'élimination d'un transfuge soviétique, mais il est trop tard pour quitter les rangs ; l'époque est à la suspicion et aux purges. Tandis qu'à Moscou, les fonctionnaires du NKVD se défenestrent pour échapper à l'arrestation et aux tortures, Victor doit gagner Paris et honorer une mission : la traque de son meilleur ami et l'assassinat de la femme de celui-ci. En dépit des menaces qui pèsent sur sa propre famille, il refuse de commettre ce dernier crime. Désormais condamné à une exécution officieuse, le chasseur Krebnitsky devient gibier, ne pouvant plus compter que sur sa ruse et son talent de caméléon. Il reste un moment à Paris auprès du fils de Trotsky, sous la protection du gouvernement de Léon Blum, dans l'ombre des nombreux intellectuels français qui chantent les prodiges du socialisme russe. Puis il fuit aux États-Unis, une arme explosive en poche : le document secret prouvant la trahison et le " grand mensonge " de Staline. S'en servir signifie la mort. Pourtant, c'est la seule chance qu'il lui reste de sauver son épouse et son fils... Vaste fresque au parfum de roman d'espionnage à travers l'Europe de l'Ouest et l'Amérique de la fin des années 1930, inspiré d'événements réels, comme l'affaire Ignace Reiss, Avis à mon exécuteur dénonce les ravages de l'infiltration, la lâcheté des gouvernements occidentaux de l'époque et l'embrigadement des plus grands esprits du XX e siècle : Louis Aragon, Elsa Triolet, Henri Barbusse, Romain Rolland, les Américains Dashiell Hammett et Lillian Hellman et l'Allemand Bertolt Brecht...