« Rien de plus méprisable qu’un éditeur. C’est de l’ordure. On a vu bien souvent des écrivains crever de faim – Combien rarement les éditeurs. » (A Hindus, sept. 1947.)
« Ces messieurs sont tout aussi avides de nouveautés que les clients de bordel ! Qu’ils me baisent d’abord mes veilles Carmen ! qui baisent encore parfaitement. Quant à la Voilier [Jeanne Loviton, un éditeur de Céline] qu’elle aille se faire foutre et me foute la Paix. » (A Daragnès, mardi 1947.)
Cité dans Dictionnaire Céline, Philippe Alméras, ©Plon 2004.
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