Friends
Voilà quelques années que les plus grands héros se sont tapés dans la main pour former la Justice League. Suite aux différentes manifestations de l’équipe, les civils soumettent l’idée qu’ils seraient à même de remplacer le gouvernement.
Face à la peur d’un conflit, les bureaucrates décident de mettre en place un agent de liaison: Steve Trevor, premier homme sur lequel WonderWoman posa les yeux. Ayant vécu une légère amourette, ces derniers ne sont plus aussi proches qu’avant.
Alors oui pour un comics qui se veut pop-corn, nous avons du sentimental et du relationnel. Mais rassurez-vous, le tout est suffisamment diffus pour ne pas alourdir la lecture.
Et si WonderWoman essaye de réorganiser ses pensées, un nouvel ennemi ne lui en laissera pas le temps. Utilisant les âmes des défunts pour faire flancher ses adversaires, la Justice League aura besoin de tous ses membres pour le défaire.
Nous avons donc de l’action, de l’amour et de l’humour. Tous les ingrédients d’une bonne sitcom. Rajoutons à cela des planches magnifiques et des scènes d’action que tout lecteur de comics appréciera de voir.
Ce Justice League#2 : L’odyssée du mal continue sur sa lancée. Il s’appuie sur chacun des univers sans réellement apporter de nouveautés. Voir l’ensemble des héros réunis fait plaisir mais il faudrait plus d’apports pour réellement conseiller l’œuvre.
Critique réalisée avec l'édition:
Justice League#2: L'odyssée du mal, 2013 chez UrbanComics