« La production de blé, qui est cultivé principalement dans les régions du nord-est de la Syrie alimentées par la pluie, devrait atteindre un plus bas historique cette année », déclare Michael Talhami, coordonnateur des programmes eau et habitat du CICR. « Cela rendra la Syrie encore plus dépendante des importations de vivres. Elle sera par conséquent extrêmement vulnérable à toute flambée des prix des denrées alimentaires sur le marché mondial, qui exacerberait les difficultés auxquelles de nombreuses personnes sont déjà confrontées pour se procurer de la nourriture à un prix abordable. » (Lire la suite)