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Ce lien, ci-dessus décliné, vient relever de nouveau une perception suffisamment acquise, à la grappe d’analyse des concepts économiques que je me fais, conformément aux fluctuations conjoncturelles, notamment les crises récurrentes qui n’auront cessées de fustiger un cinglant discrédit aux théories et doctrines, jusque là entrevues comme des assertions irrécusables, indépassables, ainsi qu’à l’aplomb des innovations intemporelles, au point, que d’une part, je constate une convergence d’approche se dessiner, tout au plus, le ralliement de V. V à mes purges consistant à redonner, un sens plus épanoui à la théorie de la croissance, en l’extrapolant d’une synthèse des acquis des différentes écoles de pensée, les tendances politiques se disputant le postulat de la transcription politique des conclusions qui en résultent, y compris les courants de pensée, qui servent au mieux à élaguer la confluence des théories avec le pragmatisme de leur extension et à défaut, la récusation des aspects évolutifs corroborée par la difficulté de scruter les créneaux d’anticipation de la stagnation ou la récession, tandis que de l’autre part, il pousse la réflexion au seuil de repasser au tamis, la dimension scientifique de l’économie, de ce qu’elle promeut à ce qu’elle est susceptible d’éluder, puis que de la notion de quantification des agrégats, subsidiairement à l’avenant des avancées considérables de par son apport irréductible à l’essor de la discipline, notamment la microéconomie, étendue à l’étude du comportement des consommateurs, pour mieux stimuler la demande, à l’introduction de d’autres modèles de représentation des données, à savoir des graphiques et des diagrammes, on en vient à encore demeurer dans l’encrage idéologique de ceux ayant confortés l’émergence et l’éclosion de la discipline, avant qu’ils ne contribuent à la faire acquérir, son statut de science à part entière, même si, de nos jours, les questionnements de V.V sont de nature à poser les véritables jalons de probables perspectives d’un débat ouvert, sur la dimension scientifique ou non de la discipline économique.
Longtemps resté réticent à la théorie Keynésienne de la relance, V Vodarewski, en vient à l’admettre au mépris, des préceptes néolibéraux et ultralibéraux, axés sur l’austérité, arguant que les discours des économistes, certainement jaloux des champs thématiques, l’attractivité y compris l’indépendance de la discipline, étant de toutes les sollicitations, se maugréent en contradiction totale avec la réalité, bien qu’admettant d’entrée, que la discipline économique se meut entre la méthode empirique et celle intuitive.
Ainsi, la problématique de la relance, se voit étalée dans tous ses aspects, lorsqu’il tente à profusion de cadencer, les mesures envisagées jusqu’à nos jours, par les différentes banques centrales, afin de soutenir le rythme de la croissance, le voyant nous plonger, dans les désertions des néolibéraux des encrages de la relance par la dépense publique, pour son indexation sur la politique monétaire, alors même que les politiques publiques, s’en affranchissaient par le biais des multiples contraintes, de satisfaire, la nécessaire jonction de l’orthodoxie économique, se voulant, au creux de la relance par la création stricte de la richesse et la création monétaire pour financer les dépenses publiques, le tout, sur fond d’hérésies pseudo tentaculaires.
Eh bien, lorsqu’il souligne, que jamais la création monétaire, n’a été aussi sollicitée, que mise en œuvre à une telle échelle, par les banques centrales, je pense qu’il table sur un des aspects, les plus élaborés et les mieux pourvus, pour s’asperger, la discontinuité des politiques publiques, ainsi que les distorsions épisodiques.
à suivre..