Sans trop savoir pourquoi, la couverture m’a tapée dans l’œil. (outch!)
La tête du pion-oiseau m’a amusée. Même si il a un air triste, finalement. Peut-être parce qu’il s’agit d’une espèce disparue.
J’ai lu seulement 4 lignes du résumé en quatrième de couverture, et allez, c’est acheté.
« Geurg … a disparu »
Hop, disparu, comme le pauv’ dodo oiseau.
S’en suit une enquête, un jeu de piste, un jeu d’ échec grandeur nature.
Une héroïne, Lilli Steinbeck, qui n’est pas sans rappeler l’anti conformisme de Lisbeth Salander;
une ambiance nordique, un peu à la Stieg Larson, donc, mais en moins noir.
L‘humour et la dérision sont bien présents et certains cheminements de pensées ou associations de mots surprennent et laissent songeur.
J’admet toutefois, que parfois j’ai survolé quelques passages, trop descriptifs, qui ne m’accrochaient pas.
Que si le coté loufoque kafkaïen me plait, il faut quand même s’accrocher, d’autant que la fin me paraît baclée.
Je n’en dis pas plus, mais mince quoi, j’aurai aimé en savoir davantage (la Russie ?Stravos et Lilli ? Le dixième ??)
Bref, un bon livre, si vous le trouvez d’occas’, pourquoi pas vous laisser tenter !
Anya