Quatrième de couverture :Un jeune homme du Sud arrive dans une ville du Nord. On le voit dériver dans les rues d’un monde si neuf. Par petites touches singulières, il tente de savoir où il se trouve.
Si L’Énigme du retour (prix Médicis 2009) était le roman du retour à Port-au-Prince de Dany Laferrière, Chronique de la dérive douce relate son arrivée à Montréal, à l’âge de 23 ans. C’est lumineux, poignant, triste et drôle comme la vie. Grégoire Leménager, Le Nouvel Observateur.
…tout est fragment d’illumination dont, quarante ans plus tard, l’homme mûr tire des sculptures étincelantes. Hélèna Villovitch, Elle. Dany Laferrière prouve une fois encore qu’il est l’un de nos grands auteurs contemporains. Marie Chaudey, La Vie