Vous pourrez lire l’intégralité de cet article en cliquant sur le lien en fin de ce billet.Les études de satisfaction comptent parmi celles que les entreprises mettent le plus massivement en œuvre. On pourrait s’attendre donc à une certaine maturité des pratiques en ce domaine. Or il n’en n’est rien.
On voit de nouvelles approches, qui consistent à imbriquer le plus fortement possible l’étude et l’action.
- Quelles sont donc les pratiques les plus intéressantes ?
- Quelles sont les meilleures options à prendre ?
- Quels sont les pièges à éviter ?
C’est une des invitations clés qui nous est faite ici par Christian Barbaray (INIT), avec une sensibilité toute particulière quant à la nécessité de s’intéresser aux différentes parties prenantes concernées dans les entreprises, depuis les directions générales jusqu’aux équipes opérationnelles, sans oublier le marketing !
Market Research News : Vous comptez parmi les spécialistes les plus écoutés sur les problématiques de satisfaction client. Pourquoi cette question de l’opérationnalité des études de satisfaction continue-t-elle à être régulièrement posée ?Christian Barbaray : Au fond, cette question est celle du lien entre la connaissance et l’action, qui pourrait être un vrai sujet pour l’épreuve de philosophie ! C’est le problème de la distinction entre "le vrai et l’utile". Pour mener à l’action, l’étude doit d’abord et avant tout susciter des décisions. Lire la suite de l’interview en cliquant sur ce lien.Accéder au site Market Research News
Christian BARBARAY http://www.init-marketing.fr
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