J. Heska – Un monde idéal où c’est la fin

Autant le dire de suite : j’ai abandonné cette lecture. Je me suis arrêtée à la page 84 pour être très exacte. Franchement, j’ai essayé. J’ai lutté pendant plusieurs pages pour ne pas arrêter cette lecture avant la fin mais c’était au dessus de mes forces, vraiment. Je ne suis pas une grande lectrice du genre science-fiction à la base. Je n’ai pas du tout adhéré aux idées proposées qui sont trop vastes et trop délirantes (un peu comme sorties de l’imaginaire d’un enfant…), au style d’écriture qui est extrêmement fade, à l’organisation du livre en nouvelles d’une ou deux pages maximum… Même si, dans un sens, le lecteur peut saluer les idées diverses inventées par l’auteur, elles ne nous transportent pas car le lecteur ne peut pas rentrer dans l’histoire (qui est complexe en plus!) proposée en 1 page ! Comme si l’auteur avait eu plein d’idées mais pas assez de livres pour toutes les traiter ou pas assez de talent pour aller au bout de chacune. Cette lecture m’a davantage pris la tête plutôt que divertie. Je n’ai pas été embarquée par les histoires (trop complexes, trop courtes…) même si celle de jeux de simulation avec Athéna était plutôt sympa. J’ai quand même trouvé qu’une ressemblait beaucoup au livre "Avant d’aller dormir". Et toutes me sont complètement passées au dessus… Je vous avoue que je me permets d’abandonner cette lecture car ce n’est pas un service presse mais un livre voyageur. Je pense qu’il aura davantage de chance auprès d’un autre lecteur, lecteur suivant qui l’attend impatiemment. Puis je suis dans une période où je n’ai pas envie de me prendre la tête avec ma passion, donc je zappe ce livre, chose que j’ai du faire 2 fois depuis que j’ai commencé à lire dans ma vie…Vous m’en direz des nouvelles (euh..)

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