Bilan avant les vacances!

Juin a été assez prolixe en lectures. J'ai effectué plusieurs surveillances d'examens (entre 2 et 4heures): ce qui m'a laissé le temps de commencer et de finir certains livres.
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J'ai d'abord lu quelques extraits que je n'ai pas appréciés:La maison d'à côté de Lisa Gardner.
Saga de Tonino Benacquista.
Les âmes grises de Philippe Claudel.
L'attente de l'aube de Boyd.
Un long mois de septembre, d'Elvire de Brissac.
J'ai lu plusieurs extraits d'un auteur que j'ai adorés:L'auteur en question est Eric-Emmanuel Schmitt dont j'ai lu Les dix enfants que Madame Ming n'avait jamais eus, L'Elixir d'amour et La Femme au miroir.
J'ai lu des œuvres intégrales surtout...De ce même auteur -ma nouvelle lubie, visiblement- j'ai lu un conte/apologue et un roman:
Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran que j'ai bien aimé.
 et
La part de l'autre qui m'a fait gamberger et que j'ai trouvé exceptionnel tant dans le thème que dans la façon d'écrire.  C'est LE roman à lire.

J'ai également lu un roman de mon auteur favori, que j'ai trouvé un peu en-dessous des autres: il s'agir de Sundborn ou les jours de lumière de Philippe Delerm

J'ai parlé du Père, je vais parler du fils dont j'ai regardé attentivement les photographies et lu les textes qui les accompagnaient... Je veux, bien, entendu, parler de l'album-DVD de la tournée de Mon Vincent d'amour...

J'ai découvert, dévoré et adoré La Cuisinière d'Himmler de Franz-Olivier Giesbert.

Je n'ai que très moyennement apprécié le roman L'écrivain de la famille du romancier que j'aime beaucoup beaucoup: Grégoire Delacourt.

J'ai découvert aussi un roman du XIX°, un peu convenu, fort de fadaises: La Nounou de Roger Dombre.

J'ai détesté la pédanterie de Martin Page dans Peut-être une histoire d'amour.

Je me suis divertie avec Le liseur du 6h47 de Jean-Paul Didierlaurent.

Je me suis délectée de la plume de Christophe Ono-dit-Biot avec son roman Plonger.
J'ai été un peu déçue par Chéri de Colette.
Et je n'ai pas fini certains pavés dont Là-bas de Huysmans et Les racines du ciel de Romain Gary.