Ce genre de patrons là (non, ils ne sont pas tous pareils…), à force de ne plus savoir jusqu’où ne pas aller trop loin, en finissent par se montrer non plus gourmands, mais bêtes et cupides… Et comme l’argent de leurs entreprises ne leur suffit pas, alors que les dividendes de tant d’entre elles ont augmenté (un exemple ici), voilà qu’ils tentent de capter l’argent des contribuables, alors qu’ils sont si regardants quand il s’agit des salaires, ou des minimas sociaux, prêts qu’ils sont à si vite et abusivement qualifier leurs bénéficaires d’assistés alors qu’eux mêmes prétendent à l’assèchement des caisses de l’Etat…
Mais chez ces gens là, Monsieur, on ne pense pas : on compte. Et comme on trouve que les choses ne vont pas assez vite, on joue sur le crédit que l’on a parmi ses camarades du gouvernement, qui ont fait parfois les mêmes écoles, pour doubler la mise… Et qui sont les grands perdants de l’histoire, hum ? Jamais eux… les biens nés.
¹ Un prêté pour un rendu, puisque la droite et les libéraux se permettent de contester la représentativité des syndicats de salariés, je ne vois pas poruquoi nous ne contesterions pas celle des syndicats patronaux ! Ainsi, le Medef représenterait en effet entre 350 000 et 750 000 adhérents selon les sources, soit entre 9.7 % et 20.8 % des entreprises de France… (sources wikipédia et INSEE)