Faces, le 2è album d’Irma

Publié le 29 juin 2014 par Framboise32

 Faces, le nouvel et 2è album d’Irma, chanteuse révélée par le site My Major Company
est sorti le 2 juin 2014. L’album a été écrit et enregistré à New York. Dans Faces, la jeune chanteuse présente treize morceaux. Faces est un album personnel et intime dans ses textes. Irma y évoque pour la première fois le Cameroun, où elle a vécu pendant 15 ans avant de venir en France.

L’album débute avec deux titres, déjà connus,  Hear me out et Save me. Les deux chansons représentent la douceur de l’album. On se laisse bercer par la douce voix d’Irma et par la belle mélodie.  Ensuite Catch the wind une jolie balade, Street Lights, Where do you go, It ain’t easy et leurs sonorités pop folk,  Every things comes and goes, Trouble Maker, le superbe Love Me, You and meWhat are you trying to do nous envoûte avec cette voix magique, Train, and Unconditional terminent ce superbe alum  ,

Irma est en tournée en France en 2014. (Paris, Strasbourg, Nantes, Bordeaux, ou encore Lyon…)

Le premier extrait Hear Me out est magnifique. La guitare puis les percussions accompagnent la superbe voix.  Le clip a été réalisé par Raf Reyntjens (déjà aux commandes de la vidéo de Papaoutai de Stromae).

 

Une jolie musique pour accompagner ce dimanche gris et pluvieux…

Sur le site officiel d’Irma, présentation de l’album  : "C’est un album cinématographique, profondément moderne et singulier : on écoute Faces comme on regarde un film. Les treize chansons qui le composent sont autant d’histoires : chaque morceau sera d’ailleurs illustré par un clip coréalisé par Irma…Elle explique : « avec mon premier album Letter to the Lord, tout est allé très vite. Après la tournée – magnifique, bouleversante – j’ai ressenti le besoin de m’isoler. Je ne voulais pas me reposer sur le succès, m’endormir. Je hais le mot sécurité. Il fallait que je parte. » Pourquoi New-York ? « Parce que dans cette ville, les gens viennent chercher quelque chose, se trouver un rêve ». Logée dans un minuscule studio de l’East Village, elle entame un processus d’écriture étonnant. Elle achète une petite caméra. Se met à arpenter les rues, à filmer tout ce qui l’inspire : « les feuilles, les arbres, les feux rouges, les passants… » Les gens surtout. Des anonymes, des inconnus. Elle leur a parlé, elle a écouté leurs histoires, elle a filmé leurs visages. Chaque soir, elle visionne ses films, retranscrit tout, noircit ses carnets de notes… Enfin elle prend sa guitare : pour mettre les mots en musique, pour faire danser les images. « Je pensais déjà beaucoup à la scène, un album est fait pour être joué, il faut sentir la vie, le réel, les chansons doivent être incarnées. » Après l’écriture, Irma dirige l’enregistrement, à la fois en chef d’orchestre et en artisan, jouant de tous les instruments, travaillant les rythmiques, s’impliquant énormément dans la programmation. « J’aime aller au bout des choses », explique-t-elle"