Pékin est tristement célèbre pour le quasi-perpétuel nuage de pollution qui recouvre la ville chinoise. selon le média britannique Bloomberg Londres serait en train de suivre la même voie. La teneur en dioxyde d'azote dans l'air de la capitale britannique est la plus élevée de toute l'Europe et elle dépasse même celle de Pékin.
D'après le média britannique, ce niveau élevé de pollution est la conséquence directe -mais non anticipée- des efforts de l'Union européenne pour combattre le changement climatique. Bruxelles a largement favorisé l'utilisation du gazole par rapport à celle de l'essence, afin de réduire les émissions de CO2. Mais la pollution entraînée par le gazole ruine tous les efforts réalisés jusqu'alors -notamment le payement par les automobilistes d'une taxe pour pouvoir accéder au centre de Londres, la promotion de l'utilisation des vélos et le développement du réseau de transports en commun.
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