Monsieur Jourdain par Christian Lacroix
Version imbittable
je ne vois
pas pourquoi il
faudrait à la fin du
vers marquer l'arrêt c'est tout
à fait crétin à moins qu'il n'ait un
point ou bien quelque autre signe t'y
invitant lecteur je vais porter la gui
gne au vers-libreur heureux de passer au
hachoir son petit peu
de peu ces jourdain à bavoir si l'on
admet cela ne font ni vers ni
prose mais chérissent leur
pot qui ne sent pas
la rose puis
brandissent la chose à tel
de leurs parents qui
n'a rien demandé doit-il trouver
marrant de s'ex
tasier à faux à cette fraîche
merde quand ça finit au
chiotte il n'est rien qui se perde sans rime
ni raison poème au stade
anal tu débites
menu tes lieux
communs banals
Version en prose bizarre
Je ne vois pas pourquoi il faudrait à la fin du vers marquer l'arrêt. C'est tout à fait crétin. A moins qu'il n'ait un point ou bien quelque autre signe t'y invitant, lecteur. Je vais porter la guigne au vers-libreur heureux de passer au hachoir son petit peu de peu. Ces Jourdain à bavoir, si l'on admet cela, ne font ni vers ni prose mais chérissent leur pot qui ne sent pas la rose, puis brandissent la chose à tel de leurs parents qui n'a rien demandé – doit-il trouver marrant de s'extasier à faux à cette fraîche merde ? Quand ça finit au chiotte, il n'est rien qui se perde. Sans rime ni raison, poème au stade anal, tu débites menu tes lieux communs banals.
Version normale
Je ne vois pas pourquoi il faudrait à la fin
Du vers marquer l'arrêt. C'est tout à fait crétin.
A moins qu'il n'ait un point ou bien quelque autre signe
T'y invitant, lecteur. Je vais porter la guigne
Au vers-libreur heureux de passer au hachoir
Son petit peu de peu. Ces Jourdain à bavoir,
Si l'on admet cela, ne font ni vers ni prose
Mais chérissent leur pot qui ne sent pas la rose,
Puis brandissent la chose à tel de leurs parents
Qui n'a rien demandé – doit-il trouver marrant
De s'extasier à faux à cette fraîche merde ?
Quand ça finit au chiotte, il n'est rien qui se perde.
Sans rime ni raison, poème au stade anal,
Tu débites menu tes lieux communs banals.
Monsieur Jourdain par Christian Lacroix
Version imbittable
je ne vois
pas pourquoi il
faudrait à la fin du
vers marquer l'arrêt c'est tout
à fait crétin à moins qu'il n'ait un
point ou bien quelque autre signe t'y
invitant lecteur je vais porter la gui
gne au vers-libreur heureux de passer au
hachoir son petit peu
de peu ces jourdain à bavoir si l'on
admet cela ne font ni vers ni
prose mais chérissent leur
pot qui ne sent pas
la rose puis
brandissent la chose à tel
de leurs parents qui
n'a rien demandé doit-il trouver
marrant de s'ex
tasier à faux à cette fraîche
merde quand ça finit au
chiotte il n'est rien qui se perde sans rime
ni raison poème au stade
anal tu débites
menu tes lieux
communs banals
Version en prose bizarre
Je ne vois pas pourquoi il faudrait à la fin du vers marquer l'arrêt. C'est tout à fait crétin. A moins qu'il n'ait un point ou bien quelque autre signe t'y invitant, lecteur. Je vais porter la guigne au vers-libreur heureux de passer au hachoir son petit peu de peu. Ces Jourdain à bavoir, si l'on admet cela, ne font ni vers ni prose mais chérissent leur pot qui ne sent pas la rose, puis brandissent la chose à tel de leurs parents qui n'a rien demandé – doit-il trouver marrant de s'extasier à faux à cette fraîche merde ? Quand ça finit au chiotte, il n'est rien qui se perde. Sans rime ni raison, poème au stade anal, tu débites menu tes lieux communs banals.
Version normale
Je ne vois pas pourquoi il faudrait à la fin
Du vers marquer l'arrêt. C'est tout à fait crétin.
A moins qu'il n'ait un point ou bien quelque autre signe
T'y invitant, lecteur. Je vais porter la guigne
Au vers-libreur heureux de passer au hachoir
Son petit peu de peu. Ces Jourdain à bavoir,
Si l'on admet cela, ne font ni vers ni prose
Mais chérissent leur pot qui ne sent pas la rose,
Puis brandissent la chose à tel de leurs parents
Qui n'a rien demandé – doit-il trouver marrant
De s'extasier à faux à cette fraîche merde ?
Quand ça finit au chiotte, il n'est rien qui se perde.
Sans rime ni raison, poème au stade anal,
Tu débites menu tes lieux communs banals.