Quatrième de couverture :Le monde n’a pas de fin est une ode à Karachi, l’hommage d’un « écrivain dans la ville » qui ne veut pas qu’elle soit réduite à sa violence. Il en rassemble les fragments pour voir au-delà des apparences et faire surgir le monde fascinant d’avant l’islamisation forcenée, d’avant les bombes. Dans le bus qui mène du centre ville à la mer, se croisent ainsi trois générations de personnages qui racontent leur histoire : le père magicien, l’écolier repenti, le Camarade poète Sukhanza, le caïd amoureux, le diseur de mauvaise aventure… « Quand on raconte une histoire à quelqu’un, nous sommes dans le même monde », écrit Bilal Tanweer et, avec lui, on aime cette ville bruyante et vivante en toutes circonstances.
Magazine Culture
Auteur: Bilal Tanweer
Titre Original: Le monde n’a pas de fin
Date de Parution : 20 août 2014
Éditeur : Stock
Nombre de pages : 216
Rentrée Littéraire 2014
Prix : 19,00€ 18,05€
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Quatrième de couverture :Le monde n’a pas de fin est une ode à Karachi, l’hommage d’un « écrivain dans la ville » qui ne veut pas qu’elle soit réduite à sa violence. Il en rassemble les fragments pour voir au-delà des apparences et faire surgir le monde fascinant d’avant l’islamisation forcenée, d’avant les bombes. Dans le bus qui mène du centre ville à la mer, se croisent ainsi trois générations de personnages qui racontent leur histoire : le père magicien, l’écolier repenti, le Camarade poète Sukhanza, le caïd amoureux, le diseur de mauvaise aventure… « Quand on raconte une histoire à quelqu’un, nous sommes dans le même monde », écrit Bilal Tanweer et, avec lui, on aime cette ville bruyante et vivante en toutes circonstances.
Quatrième de couverture :Le monde n’a pas de fin est une ode à Karachi, l’hommage d’un « écrivain dans la ville » qui ne veut pas qu’elle soit réduite à sa violence. Il en rassemble les fragments pour voir au-delà des apparences et faire surgir le monde fascinant d’avant l’islamisation forcenée, d’avant les bombes. Dans le bus qui mène du centre ville à la mer, se croisent ainsi trois générations de personnages qui racontent leur histoire : le père magicien, l’écolier repenti, le Camarade poète Sukhanza, le caïd amoureux, le diseur de mauvaise aventure… « Quand on raconte une histoire à quelqu’un, nous sommes dans le même monde », écrit Bilal Tanweer et, avec lui, on aime cette ville bruyante et vivante en toutes circonstances.