Et si tout recommençait
malgré le silence du vent
et la honte des étoiles ?
Des pas dans la poussière
pour témoigner d’une vie respirante
Des regards dans la maison
pour aimer le corps des survivants
Le rideau des larmes
pour cacher les déroutes
pour faire éclater l’absence
et le regard équivoque
d’une nuit hors d’haleine
sous le masque réconcilié
des aubes