L'Écosse possède alors (et encore aujourd'hui) une vigoureuse culture qui lui est propre et dont le peuple est friand, des systèmes bancaires, juridiques, de santé et éducatifs fonctionnels et distincts.
Cette fusion sous la même tente entre les Écossais (presbytériens) et les Anglais (anglicains) créera quelques frictions au cours des années qui suivront. Les pressions des religions les unes sur les autres forcent quelques guerres épiscopales. Les Écossais, moins nantis que les Anglais, seront au bout du compte annexés à l'Angleterre en 1707, donnant naissance au Royaume-Uni de Grande-Bretagne.
Depuis, l'Écosse fait parti du Royaume-Uni mais vit tout aussi distinctement qu'avant 1707.
Tout comme l'Irlande, qui sont aussi citoyens britanniques.
Mais on connait les tensions entre irlandais et britanniques...
L'Écosse n'est pas aussi agressive à l'égard des britanniques, toutefois, elle considère que son statut au sein du Royaume-Uni relève plus de l'accident que du souhait du peuple.
Celui que l'on fête aujourd'hui.
Vous pouvez être certain que des yeux intéressés seront plantés sur l'Écosse dans 3 mois.
Les Écossais sont 6 millions. Nous en sommes 8.
De plus, est-ce qu'on peine à consommer chez nous? Pas à ce que je sache.
Et qui produit et consomme chez soi n'a pas besoin des autres. Il est déjà indépendant.
Il peut bien continuer de vivre en célibataire par rapport au Reste Of Canada.
Les célibataire n'est jamais forcé de s.intéresser aux unions, à la mécanique des couples.
Est-ce que je veux un pays pour le Québec?
Il m'arrive d'y penser.
Est-ce que le Canada occupe ma tête?
Je n'y pense jamais.
Et je ne m'en porte pas plus mal.
Le Québec non plus j'en suis sur.
Bonne fête peuple que j'aime.
J'ai la lumière du soleil,
et le frisson de la fougère.
La rudesse de l'hiver
La douceur du miel