J’avais écrit cet article il y a bien longtemps, au moment où les écharpes et l’air glacé étaient au rendez-vous. J’essaie aujourd’hui de le finir pour partager ce joli moment avec vous et en garder une trace.
Je ne connaissais pas l’existence de ce musée avant qu’on ne m’en parle. Ni une ni deux, on décide avec des amies d’y aller pendant les vacances. Et entre temps, j’ai eu la chance de gagner un concours organisé par Que faire à Paris ? qui proposait de remporter 4 places pour le fabuleux Musée des Arts forains. Quelle chance ! Disons que c’était mon cadeau de Noël à l’avance !
Et en ce beau jour de janvier, nous sommes allées dans cet endroit magique et merveilleux à souhait. Entre nous, j’ai vraiment l’impression d’avoir la bouche en forme de cœur et de souffler des paillettes en énonçant de tels propos. Mais soit, cette visite m’a tellement éblouie et enchantée qu’il m’est impossible de parler d’une autre manière ! Vous allez devoir vous y faire !
Même si le lieu revêt le nom de « musée », il n’y avait pas vraiment matière à apprendre des choses sur le monde des forains. Il y avait très peu de panneaux informatifs. D’un côté, ça m’a un peu déçue car je m’attendais à découvrir cet univers. Mais les décors fabuleux que ce bémol est passé outre. Dès le début on est plongé dans un endroit sombre éclairé par quelques lumières, histoire de récréer une balade nocturne magique.
Au sein du musée, se trouvait une petite exposition du nom de Virtualia, le cabinet des curiosités. On y retrouvait principalement des objets propre à l’illusion et qui font travailler l’imagination du visiteur. J’ai pu voir et découvrir entre autre le fameux diorama de Louis Daguerre qui est un tableau peint des deux côtés de la toile. Elle devient animée grâce à de la lumière. Voici un petit aperçu :
Tous ces objets de l’art du spectacle proviennent de la collection de Jean-Paul Favand, qui lui est acteur et antiquaire. L’exposition est répartie sur trois salles thématiques : le musée des arts forains, le Théâtre du merveilleux et le Salon vénitien.
Le manège de vélocipèdes que j’ai eu l’occasion d’essayer. En gros, le concept c’est de pédaler pour activer le mécanisme.