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INSECT-LIKE / LIKE INSECTS ~ + SI AFFINITÉ 2014 ~l’Afiac à Lautrec ~

Publié le 20 juin 2014 par Philippe Cadu

http://www.afiac.org/INSECT-LIKE / LIKE INSECTS  ~ + SI AFFINITÉ 2014 ~l’Afiac à Lautrec ~Agnes Rosse

VENDREDI 27 JUIN -18h30 – Vernissage : conception Denise Bresciani (Place centrale à Lautrec)

20h30 – ouverture de l’exposition Visite nocturne

SAMEDI 28 JUIN -10h-19h – Ouverture de l’exposition
20h – Repas thématique : Cour de la mairie rue du Mercadial à Lautrec

Pendant le repas : une performance de B.A.3x
Participation aux frais 15 euros Réservation indispensable

Nicolas Fenouillat
Suzy Lelièvre
22h - NIBUL en concert (cour de la mairie rue du Mercadial à Lautrec)

Les artistes : Julien Salaud, Pierre-Laurent Cassière, Nicolas Fenouillat, Denise Bresciani, Agnès Rosse, Suzy Lelièvre, Le collectif IPN, Collectif Ding, Benedetto Bufalino, Linda Sanchez.

Thématique : De « la cigale et la fourmi » ( 1 ) à « Sucker » ( 2 ) ,de la fable au cinéma en passant par la poésie et la bande dessinée, auteurs et réalisateurs prêtent à l ’animal des sentiments, des états d’âme, une intelligence voire une conscience. I l est fréquent que l ’humain social, en de nombreux points comparable à l ’ insecte éponyme, n’hésite pas à poser ce dernier en miroir , lui conférant des valeurs morales semblables aux nôtres. Ces créatures à six pattes sont des sujets idéaux comme symboles et métaphores de l

Benedetto Bufalino
Denise Bresciani
existence humaine, quand bien même les comportements infanticides, fratricides ou matricides sont légion dans ces sociétés organisées, hiérarchisées et laborieuses. D’autres bêtes de la même famille trouvent plus difficilement grâce à nos yeux, elles hantent nos cauchemars, phobies et delirium tremens. Bien que situées aux marges de la perception, elles sont partout , elles constituent à peu près 80% de la faune terrestre, habitent jusque dans nos maisons, nos cheveux et nos poils pubiens pour les plus invasives. Elles sont installées dans notre langage, nous avons le cafard, nous tombons comme des mouches, les gobons parfois , au XVIII e siècle, les femmes de la haute société en collaient sur leur peau pour mettre leur pâleur en valeur, nous avons des fourmis dans les jambes et la puce à l ’oreille . . . Lire la suite…


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